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Billet de blog 26 décembre 2020

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Entre Macron et Erdogan OU N’avoir ni raison, ni tort

Il est extrêmement difficile que l’un comprenne l’autre, voire impossible : Ni Macron pourrait transpercer le profond et disproportionné amour que porte tout musulman à Mohammed, le prophète de l’islam.

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

      Il  est  extrêmement  difficile que l’un comprenne l’autre, voire impossible : Ni Macron pourrait  transpercer le profond et disproportionné amour que porte tout musulman à Mohammed, le prophète de l’islam. Ni Erdogan pourrait saisir, qu’est ce que la ((liberté d’expression)) en France et partout en Occident. Encore moins, la portée de la caricature dans la tradition artistique et  journalistique française et occidentale,  reste, restera imperceptible pour l’esprit du musulman ordinaire. Quant au musulman responsable, surtout un chef d’Etat, toute caricature critique, non élogieuse est tout simplement récusable ; donc  c’est défendu ! Nous sommes là, devant deux cultures, deux esprits, complètement opposés. L’une est étrangère à l’autre,  il arrive  même, faute de l’impossibilité d’entente et de compréhension mutuelles dans cet usage, que si l’une ne condamne pas l’autre, elle ne peut jamais ou presque se montrer tolérante quand il s’agit du prophète pour les musulmans et de liberté pour les Français.

     Macron a-t-il critiqué l’islam, s’en est-il vraiment pris aux musulmans ? Non ! Non, et pourtant, certains musulmans  pour des raisons purement  politiques et –bien-entendu économiques et même stratégiques, Erdogan et avec lui les islamistes, toutes tendances confondues, ont  propagé et versent toujours que le Président Français, Emmanuel Macron a insulté l’islam. Le nombre des réactions de tout genre et dans toutes les fores de communication est impressionnant.  Tous les responsables politiques musulmans et avec eux les musulmans ont condamné l’acte barbare commis par le terroriste tchéchène, sauf Erdogan ! Cela restera immanquablement inscrite dans l’histoire : comment et pourquoi un chef d’Etat d’un grand pays musulman qui avait comme titre au temps du califat ((la Sublime Porte)) n’a pas pensé faire ce geste si attendu de toute part et non seulement de La France, pays où un citoyen, un enseignant de surcroit, fut sauvagement assassiné !?! La sainteté du prophète Mohammed, chez les musulmans est au dessus de tout.

    Les mensonges, faire dire à Macron ce qu’il n’a pas dit et ne peut même pas penser furent fabriqués dans certains pays musulmans par tout le monde y compris des esprits desquels on pourrait espérer ne pas les voir s’exprimer sur un sujet qu’ils savent apocryphe. Le côté propagandiste, on l’a constaté, est allé plus loin encore. Ainsi, sans compter ses interventions dans des régions turques, Erdogan s’est exprimé devant le parlement même, pour s’en prendre à La France, se concentrant sur les caricatures journalistiques amuseurs, mais sans pouvoir s’interdire de dire des sottises comme pour mettre  en doute la santé mentale du président Français. Pire, le président islamiste turc donne sa bénédiction au mouvement de boycott des produits français ! On assiste alors à une attaque  rebelle, une guerre économique, portant préjudice, réfléchie.   

      En laissant de côté les réactions de l’homme musulman de la rue, limitons – nous aux éléments essentiels liés à cette colère de la Turquie  dont les raisons, on le sait, les vraies d’ailleurs, qui sont économiques et stratégiques, remontent à loin, c’est vrai, mais il est vrai que cela remonte aussi à des temps que l’on vit encore. Ainsi nous ne pouvons  pas nous désintéresser  d’une donne socioculturelle importante dévoilant  que la moitié des imams gérant la question religieuse en France sont des imams turcs. Les occidentaux, sauf les spécialistes, ne sont pas tellement conscients de l’ampleur de cette réalité. Chaque Etat musulman, a  en France et en général en Europe, un islam à lui. Car en effet, dans le monde arabo-musulman, il y a plusieurs islams. Et de ce fait, plusieurs islams s’activent en France. Le plus vigoureux, le plus intégriste est celui du wahhabisme de l’Arabie Saoudite.  Le plus « califatiste » revient à celui des frères musulmans dont Erdogan aspire en être le leader. Les frères musulmans  proscrivent   la notion de « nation » et figurent hargneusement   la notion de la « Oumma ».  L’islam plus ou moins modéré est symbolisé  surtout par  les maghrébins. Il est alors compréhensible que le président français, Emmanuel Macron  fasse le pas dans le sens d’un islam français uni sous l’étendard d’une France commune, donc, connue, généralement, d’être le pays du respect pour tous… quelque soit la foi des uns et des autres. De là vint son initiative de tenter de façonner l’islam Français. Réussira-t-il ? C’est là toute la question sachant que la loi en elle-même pourrait être bonne, mais la mettre en application pour qu’elle advienne une culture musulmane compréhensive et nouvelle reste problématique. Le projet de Macron est déjà combattu en dehors de La France par ce j’appelle la « dictature émotionnelle musulmane »  qui n’est différente en rien de toutes les dictatures émotionnelles religieuses sauf qu’elle la dépasse beaucoup pour des raisons culturelles et civilisationelles.  Elle la dépasse en inventant  à chaque circonstance  comme celle de cette tragédie de Samuel  Patty et de Nice non seulement la facétie mais aussi en ‘’industrialisant’’ une  ignorance propre aux musulmans faite de toutes les insuffisances possibles et impossibles. . C’est ce qui produit tout un arsenal d’outils bien utilisés par tous les Erdogan dans le monde arabo-musulman. Et ce de quoi sont fait ainsi les éléments d’une bataille inattendue dont l’espace étendu chaque jour et si large qu’est la diplomatie des  masses dont profite largement et profondément Recep Tayyeb Erdogan qui profite du vide dans l’univers musulman où aucun chef musulman  n’a la possibilité de le concurrencer actuellement, même pas ses nababs ennemis du Golf.

      Il  est  extrêmement  difficile que l’un comprenne l’autre, voire impossible : Ni Macron pourrait  transpercer le profond et disproportionné amour que porte tout musulman à Mohammed, le prophète de l’islam. Ni Erdogan pourrait saisir, qu’est ce que la ((liberté d’expression)) en France et partout en Occident. Encore moins, la portée de la caricature dans la tradition artistique et  journalistique française et occidentale,  reste, restera imperceptible pour l’esprit du musulman ordinaire. Quant au musulman responsable, surtout un chef d’Etat, toute caricature critique, non élogieuse est tout simplement récusable ; donc  c’est défendu ! Nous sommes là, devant deux cultures, deux esprits, complètement opposés. L’une est étrangère à l’autre,  il arrive  même, faute de l’impossibilité d’entente et de compréhension mutuelles dans cet usage, que si l’une ne condamne pas l’autre, elle ne peut jamais ou presque se montrer tolérante quand il s’agit du prophète pour les musulmans et de liberté pour les Français.

     Macron a-t-il critiqué l’islam, s’en est-il vraiment pris aux musulmans ? Non ! Non, et pourtant, certains musulmans  pour des raisons purement  politiques et –bien-entendu économiques et même stratégiques, Erdogan et avec lui les islamistes, toutes tendances confondues, ont  propagé et versent toujours que le Président Français, Emmanuel Macron a insulté l’islam. Le nombre des réactions de tout genre et dans toutes les fores de communication est impressionnant.  Tous les responsables politiques musulmans et avec eux les musulmans ont condamné l’acte barbare commis par le terroriste tchéchène, sauf Erdogan ! Cela restera immanquablement inscrite dans l’histoire : comment et pourquoi un chef d’Etat d’un grand pays musulman qui avait comme titre au temps du califat ((la Sublime Porte)) n’a pas pensé faire ce geste si attendu de toute part et non seulement de La France, pays où un citoyen, un enseignant de surcroit, fut sauvagement assassiné !?! La sainteté du prophète Mohammed, chez les musulmans est au dessus de tout.

    Les mensonges, faire dire à Macron ce qu’il n’a pas dit et ne peut même pas penser furent fabriqués dans certains pays musulmans par tout le monde y compris des esprits desquels on pourrait espérer ne pas les voir s’exprimer sur un sujet qu’ils savent apocryphe. Le côté propagandiste, on l’a constaté, est allé plus loin encore. Ainsi, sans compter ses interventions dans des régions turques, Erdogan s’est exprimé devant le parlement même, pour s’en prendre à La France, se concentrant sur les caricatures journalistiques amuseurs, mais sans pouvoir s’interdire de dire des sottises comme pour mettre  en doute la santé mentale du président Français. Pire, le président islamiste turc donne sa bénédiction au mouvement de boycott des produits français ! On assiste alors à une attaque  rebelle, une guerre économique, portant préjudice, réfléchie.   

      En laissant de côté les réactions de l’homme musulman de la rue, limitons – nous aux éléments essentiels liés à cette colère de la Turquie  dont les raisons, on le sait, les vraies d’ailleurs, qui sont économiques et stratégiques, remontent à loin, c’est vrai, mais il est vrai que cela remonte aussi à des temps que l’on vit encore. Ainsi nous ne pouvons  pas nous désintéresser  d’une donne socioculturelle importante dévoilant  que la moitié des imams gérant la question religieuse en France sont des imams turcs. Les occidentaux, sauf les spécialistes, ne sont pas tellement conscients de l’ampleur de cette réalité. Chaque Etat musulman, a  en France et en général en Europe, un islam à lui. Car en effet, dans le monde arabo-musulman, il y a plusieurs islams. Et de ce fait, plusieurs islams s’activent en France. Le plus vigoureux, le plus intégriste est celui du wahhabisme de l’Arabie Saoudite.  Le plus « califatiste » revient à celui des frères musulmans dont Erdogan aspire en être le leader. Les frères musulmans  proscrivent   la notion de « nation » et figurent hargneusement   la notion de la « Oumma ».  L’islam plus ou moins modéré est symbolisé  surtout par  les maghrébins. Il est alors compréhensible que le président français, Emmanuel Macron  fasse le pas dans le sens d’un islam français uni sous l’étendard d’une France commune, donc, connue, généralement, d’être le pays du respect pour tous… quelque soit la foi des uns et des autres. De là vint son initiative de tenter de façonner l’islam Français. Réussira-t-il ? C’est là toute la question sachant que la loi en elle-même pourrait être bonne, mais la mettre en application pour qu’elle advienne une culture musulmane compréhensive et nouvelle reste problématique. Le projet de Macron est déjà combattu en dehors de La France par ce j’appelle la « dictature émotionnelle musulmane »  qui n’est différente en rien de toutes les dictatures émotionnelles religieuses sauf qu’elle la dépasse beaucoup pour des raisons culturelles et civilisationelles.  Elle la dépasse en inventant  à chaque circonstance  comme celle de cette tragédie de Samuel  Patty et de Nice non seulement la facétie mais aussi en ‘’industrialisant’’ une  ignorance propre aux musulmans faite de toutes les insuffisances possibles et impossibles. . C’est ce qui produit tout un arsenal d’outils bien utilisés par tous les Erdogan dans le monde arabo-musulman. Et ce de quoi sont fait ainsi les éléments d’une bataille inattendue dont l’espace étendu chaque jour et si large qu’est la diplomatie des  masses dont profite largement et profondément Recep Tayyeb Erdogan qui profite du vide dans l’univers musulman où aucun chef musulman  n’a la possibilité de le concurrencer actuellement, même pas ses nababs ennemis du Golf.

      Il  est  extrêmement  difficile que l’un comprenne l’autre, voire impossible : Ni Macron pourrait  transpercer le profond et disproportionné amour que porte tout musulman à Mohammed, le prophète de l’islam. Ni Erdogan pourrait saisir, qu’est ce que la ((liberté d’expression)) en France et partout en Occident. Encore moins, la portée de la caricature dans la tradition artistique et  journalistique française et occidentale,  reste, restera imperceptible pour l’esprit du musulman ordinaire. Quant au musulman responsable, surtout un chef d’Etat, toute caricature critique, non élogieuse est tout simplement récusable ; donc  c’est défendu ! Nous sommes là, devant deux cultures, deux esprits, complètement opposés. L’une est étrangère à l’autre,  il arrive  même, faute de l’impossibilité d’entente et de compréhension mutuelles dans cet usage, que si l’une ne condamne pas l’autre, elle ne peut jamais ou presque se montrer tolérante quand il s’agit du prophète pour les musulmans et de liberté pour les Français.

     Macron a-t-il critiqué l’islam, s’en est-il vraiment pris aux musulmans ? Non ! Non, et pourtant, certains musulmans  pour des raisons purement  politiques et –bien-entendu économiques et même stratégiques, Erdogan et avec lui les islamistes, toutes tendances confondues, ont  propagé et versent toujours que le Président Français, Emmanuel Macron a insulté l’islam. Le nombre des réactions de tout genre et dans toutes les fores de communication est impressionnant.  Tous les responsables politiques musulmans et avec eux les musulmans ont condamné l’acte barbare commis par le terroriste tchéchène, sauf Erdogan ! Cela restera immanquablement inscrite dans l’histoire : comment et pourquoi un chef d’Etat d’un grand pays musulman qui avait comme titre au temps du califat ((la Sublime Porte)) n’a pas pensé faire ce geste si attendu de toute part et non seulement de La France, pays où un citoyen, un enseignant de surcroit, fut sauvagement assassiné !?! La sainteté du prophète Mohammed, chez les musulmans est au dessus de tout.

    Les mensonges, faire dire à Macron ce qu’il n’a pas dit et ne peut même pas penser furent fabriqués dans certains pays musulmans par tout le monde y compris des esprits desquels on pourrait espérer ne pas les voir s’exprimer sur un sujet qu’ils savent apocryphe. Le côté propagandiste, on l’a constaté, est allé plus loin encore. Ainsi, sans compter ses interventions dans des régions turques, Erdogan s’est exprimé devant le parlement même, pour s’en prendre à La France, se concentrant sur les caricatures journalistiques amuseurs, mais sans pouvoir s’interdire de dire des sottises comme pour mettre  en doute la santé mentale du président Français. Pire, le président islamiste turc donne sa bénédiction au mouvement de boycott des produits français ! On assiste alors à une attaque  rebelle, une guerre économique, portant préjudice, réfléchie.   

      En laissant de côté les réactions de l’homme musulman de la rue, limitons – nous aux éléments essentiels liés à cette colère de la Turquie  dont les raisons, on le sait, les vraies d’ailleurs, qui sont économiques et stratégiques, remontent à loin, c’est vrai, mais il est vrai que cela remonte aussi à des temps que l’on vit encore. Ainsi nous ne pouvons  pas nous désintéresser  d’une donne socioculturelle importante dévoilant  que la moitié des imams gérant la question religieuse en France sont des imams turcs. Les occidentaux, sauf les spécialistes, ne sont pas tellement conscients de l’ampleur de cette réalité. Chaque Etat musulman, a  en France et en général en Europe, un islam à lui. Car en effet, dans le monde arabo-musulman, il y a plusieurs islams. Et de ce fait, plusieurs islams s’activent en France. Le plus vigoureux, le plus intégriste est celui du wahhabisme de l’Arabie Saoudite.  Le plus « califatiste » revient à celui des frères musulmans dont Erdogan aspire en être le leader. Les frères musulmans  proscrivent   la notion de « nation » et figurent hargneusement   la notion de la « Oumma ».  L’islam plus ou moins modéré est symbolisé  surtout par  les maghrébins. Il est alors compréhensible que le président français, Emmanuel Macron  fasse le pas dans le sens d’un islam français uni sous l’étendard d’une France commune, donc, connue, généralement, d’être le pays du respect pour tous… quelque soit la foi des uns et des autres. De là vint son initiative de tenter de façonner l’islam Français. Réussira-t-il ? C’est là toute la question sachant que la loi en elle-même pourrait être bonne, mais la mettre en application pour qu’elle advienne une culture musulmane compréhensive et nouvelle reste problématique. Le projet de Macron est déjà combattu en dehors de La France par ce j’appelle la « dictature émotionnelle musulmane »  qui n’est différente en rien de toutes les dictatures émotionnelles religieuses sauf qu’elle la dépasse beaucoup pour des raisons culturelles et civilisationelles.  Elle la dépasse en inventant  à chaque circonstance  comme celle de cette tragédie de Samuel  Patty et de Nice non seulement la facétie mais aussi en ‘’industrialisant’’ une  ignorance propre aux musulmans faite de toutes les insuffisances possibles et impossibles. . C’est ce qui produit tout un arsenal d’outils bien utilisés par tous les Erdogan dans le monde arabo-musulman. Et ce de quoi sont fait ainsi les éléments d’une bataille inattendue dont l’espace étendu chaque jour et si large qu’est la diplomatie des  masses dont profite largement et profondément Recep Tayyeb Erdogan qui profite du vide dans l’univers musulman où aucun chef musulman  n’a la possibilité de le concurrencer actuellement, même pas ses nababs ennemis du Golf.

      Il  est  extrêmement  difficile que l’un comprenne l’autre, voire impossible : Ni Macron pourrait  transpercer le profond et disproportionné amour que porte tout musulman à Mohammed, le prophète de l’islam. Ni Erdogan pourrait saisir, qu’est ce que la ((liberté d’expression)) en France et partout en Occident. Encore moins, la portée de la caricature dans la tradition artistique et  journalistique française et occidentale,  reste, restera imperceptible pour l’esprit du musulman ordinaire. Quant au musulman responsable, surtout un chef d’Etat, toute caricature critique, non élogieuse est tout simplement récusable ; donc  c’est défendu ! Nous sommes là, devant deux cultures, deux esprits, complètement opposés. L’une est étrangère à l’autre,  il arrive  même, faute de l’impossibilité d’entente et de compréhension mutuelles dans cet usage, que si l’une ne condamne pas l’autre, elle ne peut jamais ou presque se montrer tolérante quand il s’agit du prophète pour les musulmans et de liberté pour les Français.

     Macron a-t-il critiqué l’islam, s’en est-il vraiment pris aux musulmans ? Non ! Non, et pourtant, certains musulmans  pour des raisons purement  politiques et –bien-entendu économiques et même stratégiques, Erdogan et avec lui les islamistes, toutes tendances confondues, ont  propagé et versent toujours que le Président Français, Emmanuel Macron a insulté l’islam. Le nombre des réactions de tout genre et dans toutes les fores de communication est impressionnant.  Tous les responsables politiques musulmans et avec eux les musulmans ont condamné l’acte barbare commis par le terroriste tchéchène, sauf Erdogan ! Cela restera immanquablement inscrite dans l’histoire : comment et pourquoi un chef d’Etat d’un grand pays musulman qui avait comme titre au temps du califat ((la Sublime Porte)) n’a pas pensé faire ce geste si attendu de toute part et non seulement de La France, pays où un citoyen, un enseignant de surcroit, fut sauvagement assassiné !?! La sainteté du prophète Mohammed, chez les musulmans est au dessus de tout.

    Les mensonges, faire dire à Macron ce qu’il n’a pas dit et ne peut même pas penser furent fabriqués dans certains pays musulmans par tout le monde y compris des esprits desquels on pourrait espérer ne pas les voir s’exprimer sur un sujet qu’ils savent apocryphe. Le côté propagandiste, on l’a constaté, est allé plus loin encore. Ainsi, sans compter ses interventions dans des régions turques, Erdogan s’est exprimé devant le parlement même, pour s’en prendre à La France, se concentrant sur les caricatures journalistiques amuseurs, mais sans pouvoir s’interdire de dire des sottises comme pour mettre  en doute la santé mentale du président Français. Pire, le président islamiste turc donne sa bénédiction au mouvement de boycott des produits français ! On assiste alors à une attaque  rebelle, une guerre économique, portant préjudice, réfléchie.   

      En laissant de côté les réactions de l’homme musulman de la rue, limitons – nous aux éléments essentiels liés à cette colère de la Turquie  dont les raisons, on le sait, les vraies d’ailleurs, qui sont économiques et stratégiques, remontent à loin, c’est vrai, mais il est vrai que cela remonte aussi à des temps que l’on vit encore. Ainsi nous ne pouvons  pas nous désintéresser  d’une donne socioculturelle importante dévoilant  que la moitié des imams gérant la question religieuse en France sont des imams turcs. Les occidentaux, sauf les spécialistes, ne sont pas tellement conscients de l’ampleur de cette réalité. Chaque Etat musulman, a  en France et en général en Europe, un islam à lui. Car en effet, dans le monde arabo-musulman, il y a plusieurs islams. Et de ce fait, plusieurs islams s’activent en France. Le plus vigoureux, le plus intégriste est celui du wahhabisme de l’Arabie Saoudite.  Le plus « califatiste » revient à celui des frères musulmans dont Erdogan aspire en être le leader. Les frères musulmans  proscrivent   la notion de « nation » et figurent hargneusement   la notion de la « Oumma ».  L’islam plus ou moins modéré est symbolisé  surtout par  les maghrébins. Il est alors compréhensible que le président français, Emmanuel Macron  fasse le pas dans le sens d’un islam français uni sous l’étendard d’une France commune, donc, connue, généralement, d’être le pays du respect pour tous… quelque soit la foi des uns et des autres. De là vint son initiative de tenter de façonner l’islam Français. Réussira-t-il ? C’est là toute la question sachant que la loi en elle-même pourrait être bonne, mais la mettre en application pour qu’elle advienne une culture musulmane compréhensive et nouvelle reste problématique. Le projet de Macron est déjà combattu en dehors de La France par ce j’appelle la « dictature émotionnelle musulmane »  qui n’est différente en rien de toutes les dictatures émotionnelles religieuses sauf qu’elle la dépasse beaucoup pour des raisons culturelles et civilisationelles.  Elle la dépasse en inventant  à chaque circonstance  comme celle de cette tragédie de Samuel  Patty et de Nice non seulement la facétie mais aussi en ‘’industrialisant’’ une  ignorance propre aux musulmans faite de toutes les insuffisances possibles et impossibles. . C’est ce qui produit tout un arsenal d’outils bien utilisés par tous les Erdogan dans le monde arabo-musulman. Et ce de quoi sont fait ainsi les éléments d’une bataille inattendue dont l’espace étendu chaque jour et si large qu’est la diplomatie des  masses dont profite largement et profondément Recep Tayyeb Erdogan qui profite du vide dans l’univers musulman où aucun chef musulman  n’a la possibilité de le concurrencer actuellement, même pas ses nababs ennemis du Golf.

      Il  est  extrêmement  difficile que l’un comprenne l’autre, voire impossible : Ni Macron pourrait  transpercer le profond et disproportionné amour que porte tout musulman à Mohammed, le prophète de l’islam. Ni Erdogan pourrait saisir, qu’est ce que la ((liberté d’expression)) en France et partout en Occident. Encore moins, la portée de la caricature dans la tradition artistique et  journalistique française et occidentale,  reste, restera imperceptible pour l’esprit du musulman ordinaire. Quant au musulman responsable, surtout un chef d’Etat, toute caricature critique, non élogieuse est tout simplement récusable ; donc  c’est défendu ! Nous sommes là, devant deux cultures, deux esprits, complètement opposés. L’une est étrangère à l’autre,  il arrive  même, faute de l’impossibilité d’entente et de compréhension mutuelles dans cet usage, que si l’une ne condamne pas l’autre, elle ne peut jamais ou presque se montrer tolérante quand il s’agit du prophète pour les musulmans et de liberté pour les Français.

     Macron a-t-il critiqué l’islam, s’en est-il vraiment pris aux musulmans ? Non ! Non, et pourtant, certains musulmans  pour des raisons purement  politiques et –bien-entendu économiques et même stratégiques, Erdogan et avec lui les islamistes, toutes tendances confondues, ont  propagé et versent toujours que le Président Français, Emmanuel Macron a insulté l’islam. Le nombre des réactions de tout genre et dans toutes les fores de communication est impressionnant.  Tous les responsables politiques musulmans et avec eux les musulmans ont condamné l’acte barbare commis par le terroriste tchéchène, sauf Erdogan ! Cela restera immanquablement inscrite dans l’histoire : comment et pourquoi un chef d’Etat d’un grand pays musulman qui avait comme titre au temps du califat ((la Sublime Porte)) n’a pas pensé faire ce geste si attendu de toute part et non seulement de La France, pays où un citoyen, un enseignant de surcroit, fut sauvagement assassiné !?! La sainteté du prophète Mohammed, chez les musulmans est au dessus de tout.

    Les mensonges, faire dire à Macron ce qu’il n’a pas dit et ne peut même pas penser furent fabriqués dans certains pays musulmans par tout le monde y compris des esprits desquels on pourrait espérer ne pas les voir s’exprimer sur un sujet qu’ils savent apocryphe. Le côté propagandiste, on l’a constaté, est allé plus loin encore. Ainsi, sans compter ses interventions dans des régions turques, Erdogan s’est exprimé devant le parlement même, pour s’en prendre à La France, se concentrant sur les caricatures journalistiques amuseurs, mais sans pouvoir s’interdire de dire des sottises comme pour mettre  en doute la santé mentale du président Français. Pire, le président islamiste turc donne sa bénédiction au mouvement de boycott des produits français ! On assiste alors à une attaque  rebelle, une guerre économique, portant préjudice, réfléchie.   

      En laissant de côté les réactions de l’homme musulman de la rue, limitons – nous aux éléments essentiels liés à cette colère de la Turquie  dont les raisons, on le sait, les vraies d’ailleurs, qui sont économiques et stratégiques, remontent à loin, c’est vrai, mais il est vrai que cela remonte aussi à des temps que l’on vit encore. Ainsi nous ne pouvons  pas nous désintéresser  d’une donne socioculturelle importante dévoilant  que la moitié des imams gérant la question religieuse en France sont des imams turcs. Les occidentaux, sauf les spécialistes, ne sont pas tellement conscients de l’ampleur de cette réalité. Chaque Etat musulman, a  en France et en général en Europe, un islam à lui. Car en effet, dans le monde arabo-musulman, il y a plusieurs islams. Et de ce fait, plusieurs islams s’activent en France. Le plus vigoureux, le plus intégriste est celui du wahhabisme de l’Arabie Saoudite.  Le plus « califatiste » revient à celui des frères musulmans dont Erdogan aspire en être le leader. Les frères musulmans  proscrivent   la notion de « nation » et figurent hargneusement   la notion de la « Oumma ».  L’islam plus ou moins modéré est symbolisé  surtout par  les maghrébins. Il est alors compréhensible que le président français, Emmanuel Macron  fasse le pas dans le sens d’un islam français uni sous l’étendard d’une France commune, donc, connue, généralement, d’être le pays du respect pour tous… quelque soit la foi des uns et des autres. De là vint son initiative de tenter de façonner l’islam Français. Réussira-t-il ? C’est là toute la question sachant que la loi en elle-même pourrait être bonne, mais la mettre en application pour qu’elle advienne une culture musulmane compréhensive et nouvelle reste problématique. Le projet de Macron est déjà combattu en dehors de La France par ce j’appelle la « dictature émotionnelle musulmane »  qui n’est différente en rien de toutes les dictatures émotionnelles religieuses sauf qu’elle la dépasse beaucoup pour des raisons culturelles et civilisationelles.  Elle la dépasse en inventant  à chaque circonstance  comme celle de cette tragédie de Samuel  Patty et de Nice non seulement la facétie mais aussi en ‘’industrialisant’’ une  ignorance propre aux musulmans faite de toutes les insuffisances possibles et impossibles. . C’est ce qui produit tout un arsenal d’outils bien utilisés par tous les Erdogan dans le monde arabo-musulman. Et ce de quoi sont fait ainsi les éléments d’une bataille inattendue dont l’espace étendu chaque jour et si large qu’est la diplomatie des  masses dont profite largement et profondément Recep Tayyeb Erdogan qui profite du vide dans l’univers musulman où aucun chef musulman  n’a la possibilité de le concurrencer actuellement, même pas ses nababs ennemis du Golf.

      Il  est  extrêmement  difficile que l’un comprenne l’autre, voire impossible : Ni Macron pourrait  transpercer le profond et disproportionné amour que porte tout musulman à Mohammed, le prophète de l’islam. Ni Erdogan pourrait saisir, qu’est ce que la ((liberté d’expression)) en France et partout en Occident. Encore moins, la portée de la caricature dans la tradition artistique et  journalistique française et occidentale,  reste, restera imperceptible pour l’esprit du musulman ordinaire. Quant au musulman responsable, surtout un chef d’Etat, toute caricature critique, non élogieuse est tout simplement récusable ; donc  c’est défendu ! Nous sommes là, devant deux cultures, deux esprits, complètement opposés. L’une est étrangère à l’autre,  il arrive  même, faute de l’impossibilité d’entente et de compréhension mutuelles dans cet usage, que si l’une ne condamne pas l’autre, elle ne peut jamais ou presque se montrer tolérante quand il s’agit du prophète pour les musulmans et de liberté pour les Français.

     Macron a-t-il critiqué l’islam, s’en est-il vraiment pris aux musulmans ? Non ! Non, et pourtant, certains musulmans  pour des raisons purement  politiques et –bien-entendu économiques et même stratégiques, Erdogan et avec lui les islamistes, toutes tendances confondues, ont  propagé et versent toujours que le Président Français, Emmanuel Macron a insulté l’islam. Le nombre des réactions de tout genre et dans toutes les fores de communication est impressionnant.  Tous les responsables politiques musulmans et avec eux les musulmans ont condamné l’acte barbare commis par le terroriste tchéchène, sauf Erdogan ! Cela restera immanquablement inscrite dans l’histoire : comment et pourquoi un chef d’Etat d’un grand pays musulman qui avait comme titre au temps du califat ((la Sublime Porte)) n’a pas pensé faire ce geste si attendu de toute part et non seulement de La France, pays où un citoyen, un enseignant de surcroit, fut sauvagement assassiné !?! La sainteté du prophète Mohammed, chez les musulmans est au dessus de tout.

    Les mensonges, faire dire à Macron ce qu’il n’a pas dit et ne peut même pas penser furent fabriqués dans certains pays musulmans par tout le monde y compris des esprits desquels on pourrait espérer ne pas les voir s’exprimer sur un sujet qu’ils savent apocryphe. Le côté propagandiste, on l’a constaté, est allé plus loin encore. Ainsi, sans compter ses interventions dans des régions turques, Erdogan s’est exprimé devant le parlement même, pour s’en prendre à La France, se concentrant sur les caricatures journalistiques amuseurs, mais sans pouvoir s’interdire de dire des sottises comme pour mettre  en doute la santé mentale du président Français. Pire, le président islamiste turc donne sa bénédiction au mouvement de boycott des produits français ! On assiste alors à une attaque  rebelle, une guerre économique, portant préjudice, réfléchie.   

      En laissant de côté les réactions de l’homme musulman de la rue, limitons – nous aux éléments essentiels liés à cette colère de la Turquie  dont les raisons, on le sait, les vraies d’ailleurs, qui sont économiques et stratégiques, remontent à loin, c’est vrai, mais il est vrai que cela remonte aussi à des temps que l’on vit encore. Ainsi nous ne pouvons  pas nous désintéresser  d’une donne socioculturelle importante dévoilant  que la moitié des imams gérant la question religieuse en France sont des imams turcs. Les occidentaux, sauf les spécialistes, ne sont pas tellement conscients de l’ampleur de cette réalité. Chaque Etat musulman, a  en France et en général en Europe, un islam à lui. Car en effet, dans le monde arabo-musulman, il y a plusieurs islams. Et de ce fait, plusieurs islams s’activent en France. Le plus vigoureux, le plus intégriste est celui du wahhabisme de l’Arabie Saoudite.  Le plus « califatiste » revient à celui des frères musulmans dont Erdogan aspire en être le leader. Les frères musulmans  proscrivent   la notion de « nation » et figurent hargneusement   la notion de la « Oumma ».  L’islam plus ou moins modéré est symbolisé  surtout par  les maghrébins. Il est alors compréhensible que le président français, Emmanuel Macron  fasse le pas dans le sens d’un islam français uni sous l’étendard d’une France commune, donc, connue, généralement, d’être le pays du respect pour tous… quelque soit la foi des uns et des autres. De là vint son initiative de tenter de façonner l’islam Français. Réussira-t-il ? C’est là toute la question sachant que la loi en elle-même pourrait être bonne, mais la mettre en application pour qu’elle advienne une culture musulmane compréhensive et nouvelle reste problématique. Le projet de Macron est déjà combattu en dehors de La France par ce j’appelle la « dictature émotionnelle musulmane »  qui n’est différente en rien de toutes les dictatures émotionnelles religieuses sauf qu’elle la dépasse beaucoup pour des raisons culturelles et civilisationelles.  Elle la dépasse en inventant  à chaque circonstance  comme celle de cette tragédie de Samuel  Patty et de Nice non seulement la facétie mais aussi en ‘’industrialisant’’ une  ignorance propre aux musulmans faite de toutes les insuffisances possibles et impossibles. . C’est ce qui produit tout un arsenal d’outils bien utilisés par tous les Erdogan dans le monde arabo-musulman. Et ce de quoi sont fait ainsi les éléments d’une bataille inattendue dont l’espace étendu chaque jour et si large qu’est la diplomatie des  masses dont profite largement et profondément Recep Tayyeb Erdogan qui profite du vide dans l’univers musulman où aucun chef musulman  n’a la possibilité de le concurrencer actuellement, même pas ses nababs ennemis du Golf.

      Il  est  extrêmement  difficile que l’un comprenne l’autre, voire impossible : Ni Macron pourrait  transpercer le profond et disproportionné amour que porte tout musulman à Mohammed, le prophète de l’islam. Ni Erdogan pourrait saisir, qu’est ce que la ((liberté d’expression)) en France et partout en Occident. Encore moins, la portée de la caricature dans la tradition artistique et  journalistique française et occidentale,  reste, restera imperceptible pour l’esprit du musulman ordinaire. Quant au musulman responsable, surtout un chef d’Etat, toute caricature critique, non élogieuse est tout simplement récusable ; donc  c’est défendu ! Nous sommes là, devant deux cultures, deux esprits, complètement opposés. L’une est étrangère à l’autre,  il arrive  même, faute de l’impossibilité d’entente et de compréhension mutuelles dans cet usage, que si l’une ne condamne pas l’autre, elle ne peut jamais ou presque se montrer tolérante quand il s’agit du prophète pour les musulmans et de liberté pour les Français.

     Macron a-t-il critiqué l’islam, s’en est-il vraiment pris aux musulmans ? Non ! Non, et pourtant, certains musulmans  pour des raisons purement  politiques et –bien-entendu économiques et même stratégiques, Erdogan et avec lui les islamistes, toutes tendances confondues, ont  propagé et versent toujours que le Président Français, Emmanuel Macron a insulté l’islam. Le nombre des réactions de tout genre et dans toutes les fores de communication est impressionnant.  Tous les responsables politiques musulmans et avec eux les musulmans ont condamné l’acte barbare commis par le terroriste tchéchène, sauf Erdogan ! Cela restera immanquablement inscrite dans l’histoire : comment et pourquoi un chef d’Etat d’un grand pays musulman qui avait comme titre au temps du califat ((la Sublime Porte)) n’a pas pensé faire ce geste si attendu de toute part et non seulement de La France, pays où un citoyen, un enseignant de surcroit, fut sauvagement assassiné !?! La sainteté du prophète Mohammed, chez les musulmans est au dessus de tout.

    Les mensonges, faire dire à Macron ce qu’il n’a pas dit et ne peut même pas penser furent fabriqués dans certains pays musulmans par tout le monde y compris des esprits desquels on pourrait espérer ne pas les voir s’exprimer sur un sujet qu’ils savent apocryphe. Le côté propagandiste, on l’a constaté, est allé plus loin encore. Ainsi, sans compter ses interventions dans des régions turques, Erdogan s’est exprimé devant le parlement même, pour s’en prendre à La France, se concentrant sur les caricatures journalistiques amuseurs, mais sans pouvoir s’interdire de dire des sottises comme pour mettre  en doute la santé mentale du président Français. Pire, le président islamiste turc donne sa bénédiction au mouvement de boycott des produits français ! On assiste alors à une attaque  rebelle, une guerre économique, portant préjudice, réfléchie.   

      En laissant de côté les réactions de l’homme musulman de la rue, limitons – nous aux éléments essentiels liés à cette colère de la Turquie  dont les raisons, on le sait, les vraies d’ailleurs, qui sont économiques et stratégiques, remontent à loin, c’est vrai, mais il est vrai que cela remonte aussi à des temps que l’on vit encore. Ainsi nous ne pouvons  pas nous désintéresser  d’une donne socioculturelle importante dévoilant  que la moitié des imams gérant la question religieuse en France sont des imams turcs. Les occidentaux, sauf les spécialistes, ne sont pas tellement conscients de l’ampleur de cette réalité. Chaque Etat musulman, a  en France et en général en Europe, un islam à lui. Car en effet, dans le monde arabo-musulman, il y a plusieurs islams. Et de ce fait, plusieurs islams s’activent en France. Le plus vigoureux, le plus intégriste est celui du wahhabisme de l’Arabie Saoudite.  Le plus « califatiste » revient à celui des frères musulmans dont Erdogan aspire en être le leader. Les frères musulmans  proscrivent   la notion de « nation » et figurent hargneusement   la notion de la « Oumma ».  L’islam plus ou moins modéré est symbolisé  surtout par  les maghrébins. Il est alors compréhensible que le président français, Emmanuel Macron  fasse le pas dans le sens d’un islam français uni sous l’étendard d’une France commune, donc, connue, généralement, d’être le pays du respect pour tous… quelque soit la foi des uns et des autres. De là vint son initiative de tenter de façonner l’islam Français. Réussira-t-il ? C’est là toute la question sachant que la loi en elle-même pourrait être bonne, mais la mettre en application pour qu’elle advienne une culture musulmane compréhensive et nouvelle reste problématique. Le projet de Macron est déjà combattu en dehors de La France par ce j’appelle la « dictature émotionnelle musulmane »  qui n’est différente en rien de toutes les dictatures émotionnelles religieuses sauf qu’elle la dépasse beaucoup pour des raisons culturelles et civilisationelles.  Elle la dépasse en inventant  à chaque circonstance  comme celle de cette tragédie de Samuel  Patty et de Nice non seulement la facétie mais aussi en ‘’industrialisant’’ une  ignorance propre aux musulmans faite de toutes les insuffisances possibles et impossibles. . C’est ce qui produit tout un arsenal d’outils bien utilisés par tous les Erdogan dans le monde arabo-musulman. Et ce de quoi sont fait ainsi les éléments d’une bataille inattendue dont l’espace étendu chaque jour et si large qu’est la diplomatie des  masses dont profite largement et profondément Recep Tayyeb Erdogan qui profite du vide dans l’univers musulman où aucun chef musulman  n’a la possibilité de le concurrencer actuellement, même pas ses nababs ennemis du Golf.

      Il  est  extrêmement  difficile que l’un comprenne l’autre, voire impossible : Ni Macron pourrait  transpercer le profond et disproportionné amour que porte tout musulman à Mohammed, le prophète de l’islam. Ni Erdogan pourrait saisir, qu’est ce que la ((liberté d’expression)) en France et partout en Occident. Encore moins, la portée de la caricature dans la tradition artistique et  journalistique française et occidentale,  reste, restera imperceptible pour l’esprit du musulman ordinaire. Quant au musulman responsable, surtout un chef d’Etat, toute caricature critique, non élogieuse est tout simplement récusable ; donc  c’est défendu ! Nous sommes là, devant deux cultures, deux esprits, complètement opposés. L’une est étrangère à l’autre,  il arrive  même, faute de l’impossibilité d’entente et de compréhension mutuelles dans cet usage, que si l’une ne condamne pas l’autre, elle ne peut jamais ou presque se montrer tolérante quand il s’agit du prophète pour les musulmans et de liberté pour les Français.

     Macron a-t-il critiqué l’islam, s’en est-il vraiment pris aux musulmans ? Non ! Non, et pourtant, certains musulmans  pour des raisons purement  politiques et –bien-entendu économiques et même stratégiques, Erdogan et avec lui les islamistes, toutes tendances confondues, ont  propagé et versent toujours que le Président Français, Emmanuel Macron a insulté l’islam. Le nombre des réactions de tout genre et dans toutes les fores de communication est impressionnant.  Tous les responsables politiques musulmans et avec eux les musulmans ont condamné l’acte barbare commis par le terroriste tchéchène, sauf Erdogan ! Cela restera immanquablement inscrite dans l’histoire : comment et pourquoi un chef d’Etat d’un grand pays musulman qui avait comme titre au temps du califat ((la Sublime Porte)) n’a pas pensé faire ce geste si attendu de toute part et non seulement de La France, pays où un citoyen, un enseignant de surcroit, fut sauvagement assassiné !?! La sainteté du prophète Mohammed, chez les musulmans est au dessus de tout.

    Les mensonges, faire dire à Macron ce qu’il n’a pas dit et ne peut même pas penser furent fabriqués dans certains pays musulmans par tout le monde y compris des esprits desquels on pourrait espérer ne pas les voir s’exprimer sur un sujet qu’ils savent apocryphe. Le côté propagandiste, on l’a constaté, est allé plus loin encore. Ainsi, sans compter ses interventions dans des régions turques, Erdogan s’est exprimé devant le parlement même, pour s’en prendre à La France, se concentrant sur les caricatures journalistiques amuseurs, mais sans pouvoir s’interdire de dire des sottises comme pour mettre  en doute la santé mentale du président Français. Pire, le président islamiste turc donne sa bénédiction au mouvement de boycott des produits français ! On assiste alors à une attaque  rebelle, une guerre économique, portant préjudice, réfléchie.   

      En laissant de côté les réactions de l’homme musulman de la rue, limitons – nous aux éléments essentiels liés à cette colère de la Turquie  dont les raisons, on le sait, les vraies d’ailleurs, qui sont économiques et stratégiques, remontent à loin, c’est vrai, mais il est vrai que cela remonte aussi à des temps que l’on vit encore. Ainsi nous ne pouvons  pas nous désintéresser  d’une donne socioculturelle importante dévoilant  que la moitié des imams gérant la question religieuse en France sont des imams turcs. Les occidentaux, sauf les spécialistes, ne sont pas tellement conscients de l’ampleur de cette réalité. Chaque Etat musulman, a  en France et en général en Europe, un islam à lui. Car en effet, dans le monde arabo-musulman, il y a plusieurs islams. Et de ce fait, plusieurs islams s’activent en France. Le plus vigoureux, le plus intégriste est celui du wahhabisme de l’Arabie Saoudite.  Le plus « califatiste » revient à celui des frères musulmans dont Erdogan aspire en être le leader. Les frères musulmans  proscrivent   la notion de « nation » et figurent hargneusement   la notion de la « Oumma ».  L’islam plus ou moins modéré est symbolisé  surtout par  les maghrébins. Il est alors compréhensible que le président français, Emmanuel Macron  fasse le pas dans le sens d’un islam français uni sous l’étendard d’une France commune, donc, connue, généralement, d’être le pays du respect pour tous… quelque soit la foi des uns et des autres. De là vint son initiative de tenter de façonner l’islam Français. Réussira-t-il ? C’est là toute la question sachant que la loi en elle-même pourrait être bonne, mais la mettre en application pour qu’elle advienne une culture musulmane compréhensive et nouvelle reste problématique. Le projet de Macron est déjà combattu en dehors de La France par ce j’appelle la « dictature émotionnelle musulmane »  qui n’est différente en rien de toutes les dictatures émotionnelles religieuses sauf qu’elle la dépasse beaucoup pour des raisons culturelles et civilisationelles.  Elle la dépasse en inventant  à chaque circonstance  comme celle de cette tragédie de Samuel  Patty et de Nice non seulement la facétie mais aussi en ‘’industrialisant’’ une  ignorance propre aux musulmans faite de toutes les insuffisances possibles et impossibles. . C’est ce qui produit tout un arsenal d’outils bien utilisés par tous les Erdogan dans le monde arabo-musulman. Et ce de quoi sont fait ainsi les éléments d’une bataille inattendue dont l’espace étendu chaque jour et si large qu’est la diplomatie des  masses dont profite largement et profondément Recep Tayyeb Erdogan qui profite du vide dans l’univers musulman où aucun chef musulman  n’a la possibilité de le concurrencer actuellement, même pas ses nababs ennemis du Golf.

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