Ouais-ouais ! C’est un poum-poum poème !
Il me va, ce jeu, allez, point de honte…
C’est l’heure pour le poète d’exécuter,
Et l’heure pour le prince de faire un pas de côté.
Mourir à chaque poème, je dois l’écrire ;
Tourner le diadème, mille fois l’écrire.
As-tu vu, ambitieux, d’où je pars et pour nulle part ?
Et crois-tu que je me soucie de ton et des regards ?
Début : je redeviens anarchiste, point noir.
Mediapart, cette fois, ce n’est point pour te séduire
Je me suis relevé, bébé bionique, papy délire
Lire, lire, les copains, lire et point de lyre
Pas moi, pas ouam, pas forcément, merde si y’a pire
Revolvers sous l’oreiller, je viens vous chatouiller
Dommage, toute cette thune, ces privilèges
Le cortège, du matin anglais à la soirée mondaine
Et toute la musique qui vous fait la gueule, à mourir de rire.
Allez, on se serre la ceinture ? Étouffant toujours plus
Dans tes façades grises, dans tes carbones, dans ta poussière
Poussière, poussière, derrière ton périphérique de misère
Mon poème est bien, fini, et je pousse au commentaire (rires)
Stone sur Mediapart
Une ligne pour tester la droiture de mes propos
Une ou deux lignes pour semer le doute chez les narcos,
Une pincée de chat littéraire pour péter plus haut,
Si tu as vu la fin c’est que tu n’est pas zinzin (comme moi)