Warrant Marrant décrypte en vidéo et avec humour les rouages et dérapages de la planète finance. Sur un ton décalé et en moins de 2 minutes, WM présente une information du jour sélectionnée parmi les plus intéressantes tombées dans le monde durant les dernières 24h. Warrant Marrant est écrit, réalisé et monté à 4 mains.
HISTOIRE DE WARRANT MARRANT Lundi 15 septembre 2008 l’un des piliers de Wall Street, la banque d’affaires Lehman Brothers, se déclare en faillite. Les marchés financiers sont paniqués. Le krach est enclenché. La crise est annoncée. La finance fait partie de notre vie et elle ne se résume plus à l’énoncé des performances des sociétés du CAC 40. C’est en octobre 2008, en plein krach boursier, que Fabrice PELOSI (journaliste financier) et Driss BOUBEKEUR (Responsable marketing) créent Warrant Marrant. Un concept forcément décalé qui permettrait d’aider à mieux comprendre l’économie en général et la finance en particulier. LES AUTEURS Fabrice PELOSI, 27 ans, est diplômé en finance de l’école de management Léonard de Vinci. Journaliste spécialiste des marchés financiers, il est en charge de la recherche d’informations. Depuis mai 2010, il est l’éditeur de Yahoo! Finance, 3e site d’informations financières en France. Il réalise quotidiennement une revue de presse approfondie principalement dans la presse française (Les Echos, La Tribune) et internationale (Wall Street Journal, Financial Times, New York Times, Spiegel, Le Temps). Ce travail de recherche quotidien permet de diffuser des informations de premier ordre avant les médias traditionnels. Driss BOUBEKEUR, 34 ans, est diplômé de l’EFAP (comme Benoît DELEPINE…). Spécialiste du Web, il est responsable marketing et développement internet de Capital pour Prisma Presse depuis 2008. Responsable multimédia du groupe UGC (Cinéma) de 2001 à 2008, le magazine CB News le sélectionne en 2004 comme « Talent de Demain » pour avoir imaginé et mis en place un plan de communication numérique. A cette époque, il réussit à convaincre UGC, mais également Yann Kounen et Vincent Cassel de libérer un fake sur les réseaux peer to peer, afin d’appâter le « pirate » en salles et générer du buzz.