C'est dans l'été que j'appréhende au plus près la notion de "temps", de "temps perdu" et ce qui s'y rapporte.
Qu'est que perdre son temps ?
Est-ce que ne rien faire c'est perdre du temps ?
Est-ce que faire c'est gagner du temps ?
et l'inverse ?
Ne rien faire pour gagner du temps ? Faire et en perdre "pourtant" ?
Et la culpabilité ? La culpabilité de ne rien faire. La culpabilité de l'oisiveté. La culbabilité de faire, mal, approximativement. Et l'appréhension du regard de l'autre, sur ce qu'on fait, ce qu'on ne fait pas, et le temps qu'on y met.
Les p'tites phrases "ah oui, 4 ans vous avez mis ? quand même"...
Bon, on verra.
Tout va bien, "ça prend le temps qu'ça prend".