Alors là, je vous conseille de commencer à numéroter vos abattis!Le Sarko version 2009, un peu sur le retour d'âge va nous en faire baver des ronds de chapeau ! Je vous fiche mon billet qu'il va tenter de nous faire avaler le bouillon de onze heure avec son Brice au ministère du travail. C'est qu'il en a de la branche le gaillard avec sa face de carême et comme tous ces gars au gouvernement, il en a du foin dans la botte! Il va y avoir du steack haché lors des négociations syndicats-patronat: ils n'ont pas fini de se tirer la bourre! Tandis que nous les hommes et les femmes de peu, ils vont continuer à nous chercher des crosses, à nous faire avaler des couleuvres , à nous culpabiliser au prétexte que nous serions paresseux, primitifs,revendicatifs et tutti quanti... Tout ce beau linge va bientôt nous imposer de nettoyer les écuries d'Augias ou celle sdes Kervielles ou des Madofs...Pendant ce temps, les banques et les actionnaires vont nous faire manger la grenouille et continueront, tranquilles comme Baptiste, à se faire des couilles en or...Ils nous bourront le mou, nous ferons miroiter la semaine des quat' jeudis, pendant que l'autre soupe au lait, sapé comme un milord, avec sa sainte nitouche nous fera des coups de Jarnac: « L'économie de marché(...) ce n'est pas les profits pour des profits exorbitants pour quelques-uns et des sacrifices pour tous les autres »( Discours de Toulon du 25 septembre), et patati et patata...Peau de balle et balai de crin, 'il se soucie comme d'une guigne du sort des salariés, moi je vous le dis!Alors plusieurs options s'offrent à nous, soit plier les gaules et laisser pisser le mérinos, continuer à se faire laver la tête en battant la breloque, ou bien l'envoyer se faire lanlaire et changer de crèmerie et c'est l'option que j'ai choisie car j'en ai ma claque de ce gouvernement.
Vous pouvez aussi penser que je yoyotte de la touffe... mais là, ce serait la fin des haricots!
NB: Pour ceux qui n'y entravent que pouic, je vous renvoie au 100 expressions à sauver de Bernard Pivot , de l'Académie Goncourt, excusez du peu!