« Le mariage incongru de deux principes contraires produit parfois une œuvre d’une étrange et troublante « beauté ». Tel est le cas des sculptures végétales et textiles d’Alain Nahmias, à mi-parcours entre l’art contemporain et l’art « ethnique». Ces œuvres, qu’il qualifie lui-même de « chamanistes », savent en tout cas conjuguer avec maîtrise , grâce notamment à l’audace discrète de certains rapports de matière ou à certaines hardiesses formelles, de mystérieuses et inédites bribes d’un alphabet plastique contemporain des plus original.
Et pourtant, comme sorties des limbes de notre mémoire collective, ses sculptures puisent en même temps leur inspiration dans l‘éventail grand ouvert des cultures de notre « village planétaire »… Notamment amérindiennes, africaines ou inuit."
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Le député Emmanuel Pellerin, visé en septembre dernier par une enquête en lien avec sa consommation de cocaïne, a été prévenu des investigations en cours, pourtant censées rester secrètes. L’élu des Hauts-de-Seine affirme que l’information lui a été transmise par Thierry Solère qui lui aurait dit la tenir du ministère de la justice. Le conseiller politique du président de la République et Éric Dupond-Moretti démentent.
Élu de la majorité présidentielle, l’avocat Emmanuel Pellerin a consommé de la cocaïne avant et après son élection en juin dernier, d’après une enquête de Mediapart. Saisie en septembre dernier, la justice n’avait pas souhaité enquêter.
La candidate d’extrême droite conteste les conclusions de la commission de contrôle sur le remboursement de sa campagne. Tous les autres comptes sont définitivement validés. Des irrégularités mineures ont été détectées, notamment dans la campagne d’Emmanuel Macron.
Selon nos informations, la multinationale pétrolière est l’objet d’une enquête ouverte par le parquet de Nanterre à la suite d’une plainte au pénal pour « pratiques commerciales trompeuses ». Ce délit ouvre la voie à des sanctions pour « greenwashing ». Une première en France.
À travers son nouveau podcast « Nous, les banni·e·s », La Cimade a décidé de donner la parole aux personnes étrangères qui subissent une décision de bannissement. Pour illustrer la violence des interdictions de retour sur le territoire français (IRTF), 5 témoins partagent leurs histoires, de leur départ vers la France jusqu’aux difficultés d’aujourd’hui.
À cause de l'OQTF, j'ai perdu mon travail étudiant. Je me suis retrouvé sans ressources du jour au lendemain, sans rien. C'est très dur, car je cotisais comme tout le monde. Avec ma compagne, on attend une petite fille pour juin prochain. D'ici là, je dois me terrer. J'ai l'impression de vivre comme un rat, j'ai tout le temps peur de tomber sur la police. Je ne suis certes pas Français, mais j'aime la France comme j'aime le Sénégal.
Le ministre de l’intérieur, comme ses prédécesseurs, veut sa loi sur l’immigration destinée notamment à expulser plus efficacement les étrangers faisant l’objet d’une OQTF. Mais pourquoi, une fois de plus, le gouvernement ne s’interroge-t-il jamais sur les causes profondes de cette immigration ?
Le recours contre l'OQTF du 6-12-22 a été rejeté. Cette famille, avec trois jeunes enfants est menacé de mort dans son pays, risque l'expulsion. Conséquence immédiate : logés au CADA (hébergements demandeurs d'asile) de Cebazat, ils seront à la rue le 31 janvier et si le 115 ne répond pas ce jour-là ou ne propose rien... SOS solidarité rapide et concrète dans ce billet. A vous de jouer.