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Billet de blog 16 octobre 2021

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Encerclement institutionnel et communautaire

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Il devient de plus en plus difficile d'avoir la moindre marge de manoeuvre dans un contexte complet de déni de droits, où les interactions communautaires, institutionnelles s'imbriquent pour organiser un encerclement total, et surtout une privation de droit systématique, 

Parmi lesquels, le droit au logement, le droit au travail et le droit à la dignité. 

Je resitue à chaque fois le contexte car vous pourriez ne pas vouloir lire les 52 articles du blog.

Je suis harcelée en reseau depuis 4 ans par un réseau communautaire impliquant des membres de ma famille.

Je ne connais pas les motivations de ce harcèlement,  ou s'il s'agit d'une commande institutionnel ayant lancé l'alerte sur des dossiers d'exploitations de bénévoles sans-papiers, ou encore sur le harcèlement moral au travail.

Il y'a fort à parier que cela soit aussi un acte délibéré de sabotage d'un proche (ex compagnon ou cousinade).

Toujours est-il que le harcèlement en reseau n'est pas un simple harcèlement. 

Il implique une infrastructure importante que seul l'APPARATUS MILITAIRE ET INSTITUTIONNEL permet, au vu du déploiement de moyens excessivement important et sans rapport avec un habituel harcèlement groupale.

Une Autorité,  suivant l'expérience Milgram, est donc nécessaire puisqu'elle légitime les abus de toutes sortes,

Protège les tortionnaires et surtout, détruit systématiquement toutes les preuves de la victime, classe ses plaintes, étouffe ses dossiers.

C'est ce que moi, Eugenie Lobe, dans la quarantaine, mère de 3 enfants, je vis aujourd'hui. 

VIOL

J'ai été violée par le membre d'une cousinade, qui est depuis protégé par son "gang" d'amis, dont la plupart sont maghrébins et ont fait intervenir leurs organisations communautaires dans mon harcèlement. 

Leur ont-ils dit la vérité ? Que j'ai été violée,  et de la pire des manières...probablement sous GHB?

Je ne le crois pas puisque ce gang justifie ce viol comme "arme de guerre".

Aujourd'hui,  soutenus par plusieurs pans communautaires ayant pris faits et causes pour eux, mais aussi des institutions...

Ce gang essaie de me maintenir sous leur emprise conjugué:

1) En organisant un nouveau récit fictif de consentement 

2) En organisant un montage juridique,  probablement à l'aide de magistrat corrompu dans les tribunaux.

Ce gang affirme par exemple avoir jusqu'à 2 ou 3 jugements leur permettant de porter atteinte à mes libertés individuelles.  Or je n'ai jamais été convoqués à aucun jugement. J'ai plusieurs fois sollicité les tribunaux dont je dépend territorialement...Aucun ne m'a avisé d'une procédure me concernant.

Ils seraient donc dans la plus grande illégalité 

3) Usurpation d'identité :

Mon identité a été usurpée,  comme j'ai pu en apporter la preuve dans les précédents articles, lors de rendez-vous médicaux ou à caractère administratif. 

4) Piratage Informatique :

Ma boite mail vient d'être vidée de 4 ans de messages.

La 1ere fois, les messages antérieures à 2019 avait été effacés. 

Puis une 2e coupe a été faite, puisque les messages remontent à présent à 2016.

Un autre viol de correspondance cette fois ci, et surtout un moyen efficace d'effacer des preuves.

Illustration 1

- Deni de droit d'un point de vue administratif :

Une des conséquences directes de ces abus répétés,  est le déni de droit.

Pour revenir au contexte immédiat qui est le mien, j'ai fui le territoire sur lequel s'exerçait une emprise conjugué sur les enfants et moi-même. 

Nous nous sommes installés dans une autre ville du 93, et j'ai aussitôt pris attaché avec les institutions de proximité. 

Le piratage Informatique a effacé un des rendez-vous pris, auquel je n'ai pu me rendre. 

D'une part la priorité est au dépôt de plainte (mais je suis clairement en état de choc et j'ai peur. La dernière fois que j'ai été au commissariat,  on a essayé de me dissuader de porter plainte. Clairement, j'ai pas la force de lutter contre eux aussi,  pour le droit de poser une plainte).

D'autre part, je n'avais plus les infos relatifs au Rdv. J'ai donc renvoyé un message d'excuse et d'explication.

Quelle ne fût ma surprise de faire le constat que même à ce niveau, là où je suis supposée recevoir de l'aide, il y'a encore ...non pascanguille sous Roche, mais baleine sous caillou.

La personne avec laquelle j'avais Rdv m'a indiqué, en réponse (et une fois toute possibilité de m'y rendre, passée !) une adresse tout autre que celle à laquelle elle m'avait convoqué. 

J'ai pu le vérifier car (Dieu ne dort pas!Eh oui, je suis croyante...) j'avais fait suivre le mail initial, celui qui a été effacé avec les 4ans de messages, a une amie.

Vous pouvez voir ci dessous que les adresses de Rdv ne sont pas les mêmes. 

Illustration 2

Quelles implications?

Ces situations, en plus de générer un état d'insécurité latent et de stress chronique, ne me permettent pas d' établir des stratégies  de survie, comme toute bénéficiaire, Y COMPRIS des personnes qui ne sont pas nés en France, des personnes arrivés ici l'an dernier, voire il y'a 6 mois.

Je dispose dans le pays qui m'a vu naître, où j'ai grandi, accumulé des diplômes, travaillé,  eu des enfants, ect...de moins de droits encore qu'une personne sous OQT (Obligation de Quitter le Tertitoire).

Quels consequences?

-Je dois déjà me préparer psychologiquement à porter plainte pour le piratage Informatique, ce qui est en soi, lorsqu'on est un individu ciblé par le harcèlement en reseau, une ÉPREUVE en soi...risquée qui plus est, car les institutions ne sont pas de notre coté. 

- Je dois garder Le Cap,  sans compter sur aucune aide extérieure, tout en contraignant l'état français à respecter mes droits puisque je suis par exemple, reconnue comme prioritaire au DALO depuis 2019, et que je ne devrais pas me retrouver à batailler avec ces réseaux aux logiques mortifères pour accéder à ce droit dont ils me barrent l'accès. 

.Quels risques?

Ces réseaux ont émis des menaces claires. Et il est important de comprendre que ces réseaux sont imbriqués,  et que cette menace est donc diffuse:

Ce n'est pas 1 seule communauté,  mais plusieurs petits groupes bien organisés au sein de différentes communautés.  Ce n'est pas une institution,  mais plusieurs personnes les ayant infiltré.  Ce n'est pas 1 figure d'autorité qui les protège,  mais un entremelement de cercles puissants (clientélisme,  lobbys,  corporations...).

La menace de mort a en tout cas été lancée (il paraît que pour un contrat visant à liquider une personne, c'est 7000 euros). Et je sais que la personne qui pense à le faire, une femme noire (membre de ma famille)décidée à protéger ses arrières, ne reculera pas si elle a ainsi la certitude que ses petits secrets, seront tus à jamais.

La menace d'emprisonnement aussi , et de discrédit, alors que ma seule faute est de refuser cette domination organisée et privation de droits.

Je n'ai d'ailleurs à ce jour, toujours pas d'avocat (le dossier concernant mon précédent avocat que j'ai fait condamné par le bâtonnier de Paris, maître K**nkou,  a été volée par le reseau de truands).

Et le TGI de Bobigny n'a toujours pas désigné d'avocat d'office, en dépit d'un dossier de demande d'Aide Juridictionnelle,  déposé en janvier 2021.

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