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Billet de blog 1 août 2018

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Intelligible ennui

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

Intelligible ennui. Et redoutable aigreur.

D’une unique faction. Qui vient de l’intérieur.

D’un corps vierge séduit. Et sa déduction sœur.

Est celle qui fait deux trous. Aux flancs de nos dormeurs.

Nous sortons d’un trou noir, qui est une cassolette.

Nos dents, de froid, de peur, nous jouent des castagnettes.

Nos goûts pour l’archaïque rendent l’avenir obsolète.

Nos portes, monnaies laissent hors : le dessein du poète.

Nous voyageons en boucle, ou ellipse, ou triangle.

Quel que soit le panache ou prêtre dont on dépende.

En nos remorques fragiles, nos fois nous sont des sangles.

Viking en barque, hostile, est matrice de nos bandes.

Flore du demain sans fond, l’appétit rend vicaire

Et les compléments noirs, sont l’âme de nos salaires.

De Vulcain et de plomb sont les œuvres du faire.

Et d’Eros sont les chaînes qu’il nous faudrait parfaire.

Plastique est l’alchimie, indissoluble et vil.

Espace et déraison, esthètes aux noms virils.

Devenir des saisons, une détestable idylle.

Qui dit anti matière, dit trou noir, dit nombril.

Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.