J’ai un trois-pièce-terrasse à louer. A Idlib. Je l’ai mis en location sur RB&B. Il n’a pas trouvé preneur. Je ne vous raconte pas le : « manque à gagner » ! Si ça vous intéresse…
Le Terrorisme n’est que le pendant populaire, voir populiste, de l’idéologie eschatologique ambiante. La Croisade, elle, en est l’expression noble, ou notable. Une angoisse partagée, réellement universelle. Génétique des Fins des Temps. Cyclique, post-millénariste. Demandez à Godefroy !
Le ou la, Fractal, identifie les guerres et massacres à venir, autant que les cours de la Bourse.
La peine est le carburant de l’apathie. Ou de la colère. Toutes deux : peu enviables.
Changer le monde, de l’intérieur, ou de l’extérieur ?... De toute façon, on ne le changera pas. C’est lui qui nous changera. Peut-être en shawarma… Ou bien en : Sahara.
Les 200 qui appellent ne sont pas des spartiates. Et s’ils se lèvent, demain, ce n’est pas pour se battre. C’est pour nous rendre vers…
J’aime mon Enfant au point de ne pas pouvoir lui expliquer sincèrement nos Temps. Je préférerais souvent qu’il croit encore au Père-Noël. Plutôt qu’à la venue d’un quelconque God-eau… Improbable.
Si j’habitais sur la place Maydan, ou à Chemnitz, j’aurais le sentiment d’appartenir déjà à l’Histoire.
Barbara, bien que fort sympathique, nous pompe l’air ! Selon elle, pour le dépolluer. Selon nous, parce qu’elle adore : en croquer. Du : beau gâteau d’air, liquide. Et se sentir importante. Satisfaite lorsqu’elle-même est repue de nos oxygènes respectifs. Ainsi sa carrière, jusqu’à présent sans faute de parcours, que nous lui souhaitons longue et prolifique, dessinera-t-elle, en filigrane, le probable étouffement des Peuples. Déjà en cours d’extinction.
Que se disaient, dans l’instant historique, ceux qui auront marqué nos passés interactifs, de massacres cumulatifs ? Qu’il faut ce qu’il faut… Ou que la Raison est d’or.
Une grave erreur, disent certains, que d’aliéner la souveraineté d’un pays plurimillénaire, pour des intérêts bassement stratégiques et court-termistes… Où Economique : au nom d’une hégémonie, monolithique, post-nihiliste, et à peine séculaire.
S’il y a demain la Guerre ; qui pointe sérieusement son nez, même si, paraît-il, « Nul » ne la souhaite ; il faudra que chacun soit convaincu, bien sûr, de son bien-fondé. Pour préserver la nécessaire : « cohésion de la Nation en temps de crise ». Pour permettre à ceux qui se connaissent de pouvoir compter sur et avec la dévotion pavlovienne de ceux qui ne se connaissent pas. Comme disait l’autre…
La Religion sert à tout. A tuer, beaucoup, souvent, le Père. Soit à : désespérer.
Boualem est un esprit libre. Il aime le : Sacrilège. C’est bien. C’est beau. Ça : fait plaisir.
L’interdiction faite d’entendre les pleurs de tous ces enfants sacrifiés, est un travail de propagande interne de chaque instant.
La rébellion à l’Ordre est une voie sans-issue, un non-sens. Car l’ordre est bien : Cosmique des choses. En réalité, on entre en responsabilité comme dans Cosa Nostra. Humblement, ou violemment. Mais, si possible, en silence.
D’une seule plante peut se déduire tout l’avenir de la Planète.
En un poisson, farci, était toute une rivière. Sale. Une certaine : source de la Vallée des Ombres.
Le Crime est un composite de lâcheté, faiblesse, fourberie... A la foi : Philosophie déviée, et instinct de survie de l’espèce.
Le prix des oranges, ou des amandes amères, en certaines contrées, ne vaut pas le prix du sang de victimes innocentes, dans d’autres. Plus ou moins : chères. Selon le : Libre cours du Marché.
A compter nos tas de morts, on perd un temps précieux. Autant donc compter plutôt ceux des autres. Nos voisins ou nos frères, en temps de Paix. Ou mieux : ceux de nos ennemis en temps de Guerre.
Vient chercher cette valise, qui t’attend, pleine de cash. Ne soit pas regardant des services en retour. Un compte n’est off-shore que s’il l’est à millions.
« Il faut qu’on réagisse, avant qu’il ne soit trop tard !... »… est la phrase du moment. Entend-on ça et là dire des pompiers en flamme. Qu’on ne saurait soupçonner ; pas même pour un sous.
Si l’on annonçait demain : « C’est la Fin… », nous deviendrions tous fous en moins d’une minute. D’ici-là, nous sommes vigilants, ou bien hypnotisés. Patriotes et/ou fanatiques. Démocrates et/ou militaristes. Préventivement assassins. Pleutres, traîtres, à nous-mêmes, et à nos propres idées. Résilients, donc renonçants.
Toute Morale est bien vaine à toutes nos exactions. Nos Maîtres avaient : Raison. Gardée, bien au chaud. Nous avons nos scrupules, en guise de couvertures.
Et critiquer : la Fin, qui justifie tous nos moyens débordants, n’est bien que le fruit, souvent encore défendu, et parfois bien pourri, ou en partie gâté, d’une méconnaissance profonde des tenants et des aboutissants, des allégories essentielles, des mythes prédictifs, des signes et des images contenus dans : le Début. Le Big-bang. Ou : la Genèse, pour certains… Nous verrons donc : demain.
Si nous n’avions pas : Tous ?... Un peu : Raison. Finalement…
La vie est une rupture qui fait lien : Eternel.