Quelle puissance n’est pas potentiellement dévastatrice ? Question, simple, mais juste, comme un bac. Philo du lever de coude. Du : toucher de conscience. Mais lucide. Comme un calcul savant. La solution est chiffre. Et puis leçon d’Histoire.
Un bac S trop complexe. Mathématique. Trop abstrait. Pour qu’on le comprenne, et qu’on le réussisse tous. Ecrémage, division, côte, part, patrimoine. Sélection ? Nous, donc, on pétitionne. Sur des réseaux sociaux, on marque notre désaccord. Notre colère. Micro-révolte. Aux macro-injustices. Tous égaux, mais certains plus, disait Michel.
La question qui se pose n’est qu’ : Une. Le monde devenant, avant tout : bipolaire, au sens psychiatrique, avant même de devenir multipolaire au sens géopolitique, ou géologique, il faut aux dominants redessiner les cartes. As-Roi d’un côté. 2-3 dépareillés, de l’Autre. ... Retracer les frontières. Qui aujourd’hui sont désuètes, voir carrément périmées. Et trop peu productives. De larmes, de sang, de marges, de dividendes et de drames. Il faut revoir nos copies de cours d’histoire. Guerre froide, Corée, UE, bloc soviétique, Mao, colonialisme à la papa… tout cela est dépassé. Le communisme est enterré en musées. Ça eut payé, mais aujourd’hui !... Imprimé sur tee-shirts, produits au Bengladesh, le Che n’est qu’une icône pop. Un vague pop-up. Has been aux résiliences sournoises. Béret, cigare, et un bon Mojito. Un mug de mauvais goût. Une figurine du vaudou capitaliste. Etoile rouge, ou pentacle, qui pique les Maduro. Au polonium. Ou malin drone. La rue veut du printemps. Quand la Trump est : hiver. Caille dit : Héra.
Dikav !
Soit, être plus puissant rend cynique, quelque peu. Mais être démuni et faible ne rend pas forcément bon à l’inverse. Mais : Pluto ! L’ : Inverse. Louche : du jour. Alors !? Juste milieu. Usage proportionné de la Force. A choisir, beaucoup préfère l’intermédiaire ; pour ne pas prendre partie, nient les risques. En même temps…
Veto. Non-ingérence. Forces de Paix. Blagounettes. Cataclysmes. La puissance des éléments nous irradie, nous submerge, nous brûle ou nous broie. Tour à tour, on ne saurait gagner. Même, L’ : Echec. Incendie, tsunami, tremblement de terre, inondation, orage et cyclone, tempête, sécheresse… Guerres. Tous : sont d’implacables ennemis de l’être médian. Toutes : ces puissances, de vie mêlée de mort, nous poussent dans nos extrêmes retranchements. Nous, impuissants, délirons, fiévreux, et lâches. Emigrons. En nous-mêmes, ou ailleurs. Nous transpirons, pensant nous protéger, bien cachés sous nos couettes. Violons donc nos statues, nos traités, nos devises. Fumons nos billets verts. Nos voisins : trop vivants. Pissons sur nos frontons, et excavons tous nos cadavres bruns. Peut-être réussirons-nous à racheter nos âmes, à équilibrer nos péchés, par la couardise et la compromission invertie de dernière minute. J’avoue !... Tout. Mai : arrêtez, s’il vous plaît, de me torturer. Pas : fait ce qu’il te plaît. Non ! Pense au fil de la toile. Qu’il : faut refaire chaque jour. En attendant Ulysse, notre puissant mari, les vautours rôdent, abondent. Nous, esseulés, et livrés à nous-mêmes, tentons tant bien que mal d’éviter la putréfaction. Ou la prostitution. Pas : gagner… Non ! Sirènes, cyclopes, puissants démons assistés de divins prismatiques, asservissent nos rêves, forgent nos désillusions. Incinèrent nos espoirs. Jugent nos résistances : criminelles.
Le seul contempteur de la puissance semble donc bien être le Temps. Sa défense, elle, est l’OTAN, par exemple. Qui sème le vent et dicte le tempo. Grêle, canicule. Le reste est négligeable. En masse. Et en morale pure. La seule puissance considérable, suffisamment impactante : la nôtre. Nous sommes des formules 1 anthropologiques. Absolus darwiniens. Des Ferrari des civilisations. Des comètes de Pégase. Des érudits flambant. Nègres sur croix. Au nom de : La Pureté. Théorisent Là : grandeur du pâle. Que Vlad aimait beaucoup.
Nos cagoules sont pointues, à peine sous-jacentes. Comme nos dents vampiriques. Elles piquent les fesses des pauvres, et de tout étranger. Voir la mort de l’arabe, de Camus. Tout est dit… Faute du soleil, ou du père. De la mère, ou de la mer. Pas nous ! Car, nous coopérons. Nous collaborons presque s’il le faut. Pour le bien. Selon nous. Soit notre bien. Nos biens. Nous tranchons les gangrènes que l’on dit nous ronger. Chirurgiens du désespoir. Ethologues en comas éthyliques. Ainsi les oiseaux doivent-ils mourir, autant que les arabes, nous explique la puissance. Soit-elle publique ou privée. Elle connaît bien ses cibles désormais. Certains disent avoir peur. D’autres n’ont plus rien à perdre. Les blocs se font face. Aux airs de « Black Face ». « Blush Bloch ». Ou : Bloquent. Disparates. Inégaux. Fragiles oppositions que la Puissance récuse, prétend combattre, et assume à la fois. Antagonisme matriciel qui détermine la Force, outil privilégié, vouée à combler les vides, que n’aime pas la Nature.
Toute. Puissante. Eternelle.
Avant : Toute. En des déserts constitutionnels, faits de grains d’indigences ataviques. De malédictions et de « Loose-attitude » congénitale. De bouts de nous. Qui : héron sans savoir. Qui : lion de faux rapports. Qui : fourmis, ions d’ardeur. Qui : Erythrons du destin.
Nous sommes en marche. Vers : plus loin. L’ : y est. Ô : Tout !