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Billet de blog 15 août 2018

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Un-dix-neuvième

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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.

De nos maîtres il nous faut retenir ce qu’ils acceptent qu’on pense, et ce qu’ils pensent acceptable que nous disions. Le reste est hors-propos, semble-t-il. Cours Mona, cours ! Ton patrimoine luit d’une connaissance sans fin. Pardon mon Dieu. Et pardon même au diable. Age après âge, le nombre dort. Il est ce clair obscur qu’on ne saurait déceler. La permissivité peut être une dictature, si l’ego n’a plus d’âme, où si le ciel vient à nous tomber sur la tête... Il est un train qui traversa l’ouest, déjà construit par des chinois. Ouvriers, blanchisseurs, puis banquiers… Ou : inversement. Car l’Eldorado, au bout de chaque chemin, de fer ou de Damas, a, lui aussi, une géométrie variable. La mine porte le vivant. Un bunker de machines, stocke nos profils étoilés. Et nos rouges en croissant. Toute notre lune sombre. En un caveau macabre.

Qu’est-ce qu’un faune ? Qu’est-ce qu’un fond féminin, sous un vernis viril ? Condoleeza ? Caroline ? Theresa ou Margaret ? Brigitte ?... Qu’est-ce qu’Un ? Œuvre…

Pourquoi racine de cinq. Plus un. Sur deux. Bordel ! Parce que… c’est comme ça.

Qui sait la particularité d’un dix-neuvième, ira chercher le Message dans la répétition mathématique, et la suite logique. Dans la division juste, ou non, donc infinie au-delà… deux, ses virgules. Comprendra : les épreuves, et comprendra : le temps.

Défiera les Géants, et démontera le sang. Réversible. Recréera Babylone. A son image. Et Babel à sa sauce. Terrorisera Donald, pour assouvir Mickey. Ou Picsou... Peu importe.

Laisse-les dire, ces maîtres, car ils ne savent pas, mais ils font bien semblant. Cloueurs de Pierre. Ils excavent les tombeaux sacrés, et les papyrus du ciel. Offusqués qu’ils prétendent être par leurs « propres » exactions. Ils conjoncturent. Ils vergeturent même. Cailleaux des infarctus, bouchons des AVC. Ils creusent de sales canaux. Qui convolent à la ruine. Comme ceux du père d’Emile. Ah ! L’ : Argent…

Si la biologie, ou étude du Vivant, nous indique que les arbres, les plantes, les insectes autant que les autres animaux, se mettent en garde, parfois se sacrifient, en tant qu’ils sont les vigies attentives, et les lanceurs d'alertes face aux pirates, assaillants de tous bords... Soient-ils corsaires, maures, fourmis, grillons ou indépendantistes. Alors, nous aussi, nous devons réfléchir à être en « alerte » permanente au nom de toute la communauté. Comme pour notre propre Famille. Réalistement. Officier. Le sacrifice, le sacerdoce... La souffrance est le ciment du vivant. L’universel : Golgotha. Non : Martyr. Où sont Gog et Magog ? Et qui sont-ils ? Sans attendre que le sperme soit transparent, ou l’ovule carré. Il nous faut réveiller la conscience de nos frères, et l’entente avec nos sœurs. Nos mères, nos pères, nos enfants, nos aïeux... Ou nous serons ennemis. Tous. Les uns toujours plus loin des autres, nous ne pourrons plus copuler, ou fructifier tranquilles. La désunion sera la norme. La stérilité : environnementale. Nos efforts seront gâtés, s’ils adviennent après l’Heure. Nous sonnerons nos trompettes, obstruées de sourdines, à qui voudra les entendre. C'est-à-dire les scorpions, les bousiers, les virus, les dragons. Les ours neurasthéniques, et les loups invertis. Les aigles de grandeur, qui planent en nos cieux gris. Impavides ou sclérosés, nous serons : Bleus, et blancs. Comme ce nouveau ciel d’été obstrué par des traînées chimiques. Nous serons bêtes et méchants. Adeptes d'« Hara-kiri ». Comme d’autres, végétatifs ou cocus, sont : verts et jaunes.

Comme le feu transforme le bois en cendre, ou l’essence en gaz, il nous faudra vivre. Non d’amour et d’eau fraîche, mais de chimie et d’incendies à répétition.

Nos maîtres pensent à nous comme de jolis bûchers, comme des croix enflammées. Comme des granits couchés, réceptacles du liquide de vie. Des rigoles écarlates. Comme de savoureux festins. Nous ne sommes que des méchouis, rosés, ou bien grillés. Nous sommes appétissants. Notre sang est : la Force. Celle qu’il faut contrôler. Pour basculer ou non. Il faut savoir les lignes. Et les signes. Entendre les sirènes, pour mieux s’en éloigner. Et se racheter des dents.

Les plantes secrètent des phéromones, pour prévenir leurs congénères, et autres, de la venue des flammes, ou de hordes de nuisibles, de ravageurs, de prédateurs… Et nous ? Que faisons-nous ? Dormons-nous, comme notre frère Jacques. Pierre ou Paul. Nous aussi nos secrets sont d’hormones. D’or. Où « Peut être » : déclaré-s hors-norme.

A quoi servent donc l’or, l’aluminium, le plomb, le titane, le strontium, le barium, le cadmium… Les phosphates, les fluors, et les nitrates d’argent… Demande à celui qui sèche, sous anis. « Société, tu m’auras pas… ». Disait : Il. Où elle ?... Dans son HLM. Non pas qu’elle l’ait eu, en effet. Mais qu’elle l’ait écartelé, jusqu’au démembrement. Disséqué, déplumé, dépecé comme une volaille de Bresse. Le voilà donc mi-hagard, mi-charognard, pleutre, et sourd. Nu comme au premier jour. Simple vers qui gigote. Comme un agneau de Pâque. A la Porte, d'Orléans-sur-Sorgue. Il n’est qu’un : Holocauste. Parmi d’autres, il attend, lui aussi, la venue du : Sauveur. Car, bien sûr, ce n’est pas lui. Il le sait. De là meurt. Et son seul ange est bien : l’ombre de la mort. Seule décideuse en somme. Seule erreur en Gomorrhe.

« Toujours vivant, toujours la banane, toujours debout... ». Mais jusqu'à quand !?

« On les a récupérés, oui mais moi on m'aura pas... », qu'y disait notre Sauveur des bacs à sable. On ferme donc les yeux. Nouveau cycle. Compte à rebours. Et voilà qu'on se retrouve avec : Maître Gims, Booba, Kaaris, Vianney, Eddy de P ou Amir, en guise de Ferrat, Brassens, Brel, ou Ferré... Un, deux, trois : Solar Impulse.

A chaque génération ses : Bounty et ses Bastilles. Ses Robinsons et ses Vendredis.

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