Gauche est L’ : extrême-droistisme
Bon ayé ! Allez : Boum-Ayé même…
Là, on a compris : boucles bouclées ; et autres boucliers du I-Book… deviennent carrément triangulaires. Voir : patibulaires. Un Nouveau Monde globalisé s’organise, qui redéfinit et relocalise les droites et les gauches. Reconsidère et rénove les extrêmes de tous bords. Nous voilà recentrés. Reformatés par la tectonique des lignes politiques, proches de : Côtes. West. Hawaïennes… East : Géorgienne. Donc : Telluriques.
Nous et Nos : « Festival du rire en magmathèque »
L’extrême n’est plus tabou-e, mais montante. Impulsée d’une fulgurante ascendance. Italie, Ligue, 5 étoiles. Hongrie, Orban. Turquie, Erdogan. Israël, Nethanyaou. Arabie Ben Salman. USA, Trump. Corée, Kim. Autriche… Reich suivant. Les extrémistes de droite, dits nationalistes, suprématistes ou mondialistes, et ceux de gauche, dits Internationalistes ou Altermondialistes, se montrent mondialement discourtois. Les islamo-gauchismes pullulent. Et les indépendantismes pleuvent. Motivés comme jamais à achever nos Temps. Et nos : vieilles Nations. A dicter nos tempos. Détruire Nos : Civilisations. Par l’opposition juste, interrogation ultime de Toute : Métaphysique. Qu’ils défendent les uns comme les autres sans trop bien la comprendre : être ou ne pas être….
Tous Hamlet, ils sont désobligés. Pour leurs Peuples, soit disant ; et obligés, pour et par eux-mêmes, en réalité. Par leurs propres Pères. Pas mêmes, ou pas à même, ni amen... 2, s’entendre en tant qu’ : Autre.
Un arc ; autant qu’un ange, davantage un archange ; pose deux bases. Tout : comme un arc-en-ciel. Où 2 : Triomphe. Tout : comme Gauss, et sa courbe, parfaitement féminine.
2 : Fertilité. Qui dit là : « Fin des Temps » ? Toute : en rondeur parabolique.
Toujours un temps se meure. Nous ne savons l’admettre. Sommes : constamment en deuil. La somme est : ADN. Un : Calcul. Une : erreur ? Un : Probabilité…
Tout : autant que Culture. Innée, acquise, l’addition nous divise.
Deux pommes, pour trois personnes, sont les sources de nos démons.
Mettons, pour rigoler, d’Une : simple conjecture, que l’on intitule les Terroristes de tous ordres : Bougnoules. On crée subconséquemment le « Bougnoulisme » comme ennemi à abattre. Comme fléau à éradiquer. Or, d’où que l’on se place, d’où que l’on se dise ou se situe, d’où que l’on puisse être originaire, on sera toujours le bougnoule d’un autre. Qui se pense, Lui, chez lui, là où : Nous, nous n’y serions pas. Le étant : Sexiste, ou Raciste « d’Un ou d'Une... » : Autre… Partout, - 2 : Tout : Temps -, nous-mêmes, trouverons un bougnoule à décrier, à méconsidérer ; de qui faire un charmant, agréable et bien utile : bouc-émissaire. Car, en Vérité, il en faut. Bien : Un ! Là, partout, en Nous, est un ou une bougnoule qui sommeille. Et l’obsession d’une alter-identité contrariante. Envahissante. Voir Vlad : vampirisant empâleur.
Comme une certaine : cinquième colonne…Vertébrale, préhistorique, ou disons : reptilienne, bien plus que cérébrale ou néocorticale. L’ : anti-bougnoulisme serait alors notre grande, et gauche, ou droite, extrême : cause commune. Depuis Neandertal. Absolue et jusqu’auboutiste. L’ultime combat censé nous rassembler, en des marées humaines qui seraient vertes ou brunes. Des cohortes grégaires. X… Bleues, étoilées, arc-en ciel, ou de Gauss, là encore… Contre. Y : cons, prix des bougnoules-Prides.
2 fort : mauvais à « Loi »
Nous serions donc des millions déjà, à demander en cœur la déradicalisation, voir la délocalisation, voir même la dénaturalisation, ou l’éradication pure et simple des « bougnoulistes ». Qui : nous bougnouliseraient ? Constamment. Sans vergogne. Ha ! Ces bougnoules alors ! On ne les refera pas… Ils ont Ça dans le sang. Menace, chaos et nihilisme néolithique. Plus ou moins, congénital, les habitent.
« L’ : internement à vie du bougnoule, à défaut de sa neutralisation directe et définitive, est la seule solution rationnelle et pratique qui nous soit donnée d’envisager »… Entend-on : ça et là ?… Sans tiquer, ni déconner. En des bouches : spécialisées. Dans L' : évacuation. Certaines risquant même qu’il n’est de bon bougnoule autre qu’un bougnoule mort. Ça les engage… Ou pas… A ce… Que le bougnoule légitime à lui seul, par sa barbarie et son inconséquence, toute forme de torture qui nous passerait par la tête. « Tu comprends : Marcel ! Tu comprends : Johnny !? Tu m’comprends, Toi : Jamel !??? Hein !?... ». Car aux comptoirs... l'ostracisme paie comptant, la Maison n'aimant pas trop faire crédit.
Quoi de plus légitime en effet que de se défendre par anticipation, et par prévention à l’égard de la violence certaine, établie statistiquement, autant que scientifiquement, médiatiquement et politiquement, du bougnoule. Il nous faut préparer la paix par la guerre perpétuelle. El : la défense par l’attaque de bon ton. Car le bougnoule porte au sein même de ses gènes les germes de « L’ : Apocalypse » annoncé. Il y a longtemps déjà. Bien sûr, chacun, de tout temps, eut son propre Bougnoule eschatologique. Chaque victime ayant son bourreau dédié. Chaque Dieu son : Lucifer. Bien souvent, elle : même où Lui : même. La Fin, de tout plaisir, de toute hégémonie, où 2 : toute chose agréable, est bien due au bougnoule. Le bougnoule est un cancer de la cellule première. Un vers. Une prose machiavélique. Une dégénérescence. Un aveu de faiblesse. Un maillon trop ténu, pour être visible, intelligible, ou acceptable. Pernicieux, le bougnoule est l’archétype du looser contagieux. Il est le préjudiciable-Alter. Le fâcheux. Le Traître à la cause propre. L’oiseau de mauvais augure. Frère dont on ne pourrait disposer ou jouir de manière satisfaisante ; et qui prétendrait constamment à nous dépasser ou nous trahir… Virus. ou : Fake-News. Pirate... Le treizième apôtre est le bougnoule. Le bougnoule est fourbe par nature, chacun le sait, et dissimule ses criminelles intentions sous des tours de passe-passe, des bonetos et autres ruses éculées et ancestrales. Le bougnoule n’est bon qu’à prétendre qu’il n’est pas un mauvais bougnoule ; qu'il est innocent ou qu’il s’est repenti ; alors que tout le monde sait pertinemment qu’il n’en reste pas un de bon qui soit là pour en témoigner…
Quel menteur ce bougnoule !
Le bougnoule peut être aussi duplice que collabo, car n’ayant pas d’"arrête!...", ni de ligne de Crète. Pas de limite ni de sens du Progrès… Où Encore : -… 2 : La Mesure. Comme la Messe. Le bougnoule est par essence réversible. Alerte ! Le bougnoule, entité symbolique qu’il nous faudrait tous combattre, s’insinue comme la peste de Camus dans nos maisons, et par tous les pores de nos peaux. Les muqueuses qui portent nos paroles de haines multipolaires, justifiées et fécondes, en sont enrhumées, voir grippées. Infectées, infestées… Nos aigreurs déconfites. Nos relents de vulgarités-égos maniaques ne sont que les symptômes de nos somatisations diverses du bougnoulisme ambiant. Simples rejets immunitaires, peut-être…
En Un : Environnement schizo-paranoïde endémique. Le bougnoule porte les germes d’un Ebola mondialisé qui s’abattra tôt ou tard sur nos fesses, soient-elles bronzées, ou couperosées. Menace-Nous : Damoclès !... Tu : verras.
Nous mettrons bien de la crème. Nous défierons les U.V. Détendrons tous nos Sphinx.
Terre : où ONU-bis… Mais le soleil imposera sa loi à chacun. Il nous est, comme le bougnoule lui-même, de plus en plus hostile. A croire qu’il ne nous aime pas. Et que la vie s’acharne à faire de nous des victimes mal préparés, ou des bourreaux qui s’ignorent.
Ce qui est visé semble donc bien être : l’entente transversale. Horla-Loi… (cf. Maupassant).
Et L’ : incorrigible intelligence plurielle. A : la Foi. Lien est : toile d’araignée.