Profilage et bout de saucisse
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Bon… Résumons le profil de la situation !
Un certains ex-Maire, ancien Secrétaire d’Etat, réflexologue de son état, est accusé, en tant que spécialiste des pieds, d’y avoir mis les mains aussi. Et à plusieurs. En « bande organisée ». Un journaliste, payé en redevances, plus prompte à faire la morale et des procès à tout va qu’à se regarder dans une glace, se trouve lui aussi accusé, mais pour une « simple main aux fesses », et quelques pelotages de jambes « bonne enfant ». Ses yeux semblant facilement s’égarer à l’intérieur du corsage de ses collaboratrices. Il leur paie ses excuses, à coups de pains au chocolat... Et se voit : remercié.
Un syndicat étudiant, de « gauche », serait en partie un nid de harceleurs sexuels. Institués...
La quasi-totalité de nos ministres seraient millionnaires. Parfois, jusqu’à sept fois.
Certains de nos édiles aimeraient bien violer de jeunes réfugiés-ées, dans des camps de misère, par nous organisés. Une pipe : une ration de corned-beef… Et on remballe.
Mélissa, métis d’Ibiza, vit toujours dévêtue. Quant à Macoumba, elle danse tous les soirs, en attendant une retraite bien méritée. L’Aziza, elle, a disparu dans un vent de sable… Ou, peut-être, noyée en Méditerranée. Tant pis pour cette : « beurette » !...(Ironie dit : Pardon ?...).
On peut, lorsqu’on est producteur, journaliste vedette, ou président du FMI, pratiquer un droit de cuissage. Traditionnel. Et dénoncer cela, n’est en fait qu’un complot. Un trompe l’œil. Nous, délateurs, pourfendeurs de ces faits, sommes les idiots utiles de l’intégrisme rampant.
Déplorer l’inversion de nos valeurs d’humanisme, séculaires et « universelles », est devenu un signe faible de radicalisation. Toute opposition doit être préventivement neutralisée.
#balancetonislamogauchiste…
Le bipartisme s’organise : entre Peuple, et Etat mondial. Entre élites et gueux génocidables.
A chacun de faire des efforts pour éviter de lâcher des gaz. Un pet de travers, réchauffant l’atmosphère, valant incrimination. Les pétomanes sont aujourd’hui de dangereux terroristes.
La droite sociale, phagocytée par quelques joggeurs du dimanche, se rabat sur l’identitaire, et les slogans moisis, putréfiés, proto-nazis. Pour ne pas avoir à vendre son fond de commerce.
La politesse, en politique, oblige. Aussi, ennemis d’hier, en apparence, un garde des sceaux et un député bâtisseur, utilisent la même messagerie que les djihadistes, pour se mettre en garde contre les excès de zèle de nos administrations. Complicité de caste ? De classe ? D’école ?
De jeunes immigro-descendants s’excitent de trop. Se croient-ils tout permis ? Depuis 1848…
Ils ont mal pris le virage de 1905. Ils sont rétifs. Culturellement inadaptés. Presque génétiquement inaptes à la citoyenneté. Ne comprenant que peu la : IIIème République !
Ils s’appellent : Yassine, Sihame, Houria, Rakhaya… Racailles ! Faux clowns. Vrais dangers. Ils essaiment le désordre social. La chienlit, dirait Charles. Ou Marianne. Il les faut censurer. Sans quoi, la France ne serait plus la France. Mais : l’Anti-France ! Il faut faire payer chères leurs irrévérences, à ceux, non « souchiens », qui ouvrent leurs bouches. Et ne vont pas aux obsèques d’un Jojo national… Notre Panthéon transféré en des mers azurées. Notre Mère Patrie, comme violée par une hétérodoxie coupable. L’Etranger noyant le sang pur de notre belle Nation, dans un marasme inter-communautaire et transcontinental. Regrettable bâtardise débarquée sur nos côtes. Par centaines de zodiacs. Barbares et sauvages, n’espérant que la bienveillance du « Non-droit ». La France, nous dit-on, ne se relèvera qui si elle se purge. D’où : « Homo »… Hors frontières. 007 !... De mobiles députés, 2.0 ; expectant leur prime de Noël avec l’air effaré de ceux qui, accusés à tort, ne sont au courant de rien ; dénient leurs duplices attentes. Ahuris d’honnêteté… Ils s’offusquent en tous sens. Eux : vierges effarouchées.
Les uns et les autres jouent leurs derniers atouts. Se sachant incapables de remplir le contrat, et encore moins d’amener le petit au bout, ils délaissent leur garde, et abattent toutes les cartes. En appelant au roi ténébreux, qui est leur partenaire dédié. Dévoué serviteur de leurs projets obscurs.
Plus clairement, il nous faudrait dévisser tous les pieds de nos chaises, et rasseoir les assises. Il nous faut revoir les fondations, refaire les caves, et recouler une chape. Démonter l’escalier, pour mettre un ascenseur. Nous aussi : assainir. Traiter toutes les parties moisies. Mettre hors d’eau. Refaire la toiture, en particulier : la faîtière. Vérifier les charpentes, sonder tous les murs porteurs. Défoncer les cloisons malsaines. Isoler les fenêtres, après les avoir déverrouillées. Il faudrait aussi labourer l’ensemble du terrain, pour créer un jardin paysager.
En bref, en (télé-) réalité, il s’agit davantage de gros œuvre que de : « Home-staging ».
Et surtout, n’oublions jamais que : c’est bientôt Noël !
Il ne faudrait pas cracher dans la dinde aux marrons : « Tiens, voilà du boudin !... ».