Mylan d'Histoire. Réduits aux nues
Comment donc s’appelle notre « Siècle » déjà ? Est-il : Nouveau ? Ou : Américain ?...
Là où certains ont un : PNAC, nous, nous avons la : FNAC. La FIAC. Ou la : FFF.
Quel est donc ce « Projet » auquel il semblerait que nous ayons tous à nous soumettre ? Censé aboutir à une réduction drastique des voilures de l’humanisme, bon teint, à la papa. Périmé.
Et à une redistribution, toujours inéquitable des cartes, dans l’optique d’un seul échec. Non mat.
Est-ce que, si nos cousins-coquins d’outre-Atlantide n’étaient pas là, nous serions tous en Arabie ?... comme disait le philosophe : Michel Sardou. Est-ce que, sans eux, nous serions en danger d’acculturation ? En proie à une entrave à nos « Libertés » fondamentales. Dictée par nos sudes et nos zests. Nos Corans et nos vestes brunes, ou post-rouges ; nos turbans ou nos djellabas noires…
En voilà une Assemblée enflammée, qui aura mérité toute la verve théâtrale de notre cher et tendre. Qui conduit, ou suit le conducteur, aux manettes, ou machineries, - où ? : -ation -, de nos destinées nationales, et internationales. Il faut noter. Là : dramaturgie du texte, comme du contexte… nécessitant toute cette emphase discursive quasi larmoyante ; aux périphrases inspirées, habitées, voir : éculées ; qui lui permettra de revendiquer une place parmi les « justes » dans les livres d’Histoire. Comme le Che, ou bien Hailé Sélassié... Comme le Grand Charles, il aura été le français, exilé, presque fiscal par excellence, qui parle aux français. Non pas de Londres, lui, mais de Wall-Street, où il est : golden-réfugié. Face à l’ignominie des uns et des autres, à l’adversité omnidirectionnelle dont il n’est en rien responsable. Lui, intérieurement lumineux… mais presque seul apparemment, il se sera levé… tôt le matin, pour montrer du doigt ; en frappant violemment sur le pupitre ; avec assiduité, et la volonté d’achèvement d’une répétition général convaincante. Un tambourinant filage… Et de monter sur le doigt de Donald, et d’observer Montmartre !... De loin. Depuis New-York… Ça pique les yeux. C’est que : ce Manu-là, qui rêva comme Martin-Luther, ou Alain, ou Chamfort, n’est pas un fainéant. Il traverse facilement les rues. Et profite des croisées de chemins pour se réorienter en permanence. S’ajuster, et se régler en même temps… Ou trouver du boulot. Se balançant de droits civiques revendiqués pour soi-seul, en conflits armés nécessaires à ses copains, lui, malin comme un singe, déroule son argumentaire de VRP du canon français. Là où d’autres font des slips ; qu’il vend aussi dans sa boutique élyséenne ; lui promotionne les tics, et autres maladies de Lyme. Sautant de branche en branche, avec souplesse aux airs : « Force One ». Pour traverser cette forêt maudite nommée : New-Deal II… Puissance dix ! Mahomet, Monnet et Schuman, se trouvant tous autant démasqués, sont donc éventrés là, comme sur un pilori du libéralisme évangélique. En une : Jésuistik-Pride, aux couleurs arc-en-ciel… Dans cette salle inorganique. Temple désincarné, aux murs de marbre vert. Sorte de sépulture de Toute : Diplomatie. Reliant la Parole d’un Prévert aux écoutes d’un Freud…
Pendant ce temps, l’Aquarius demande un simple pavillon, comme un quelconque yacht de plaisance, ou de riche qu’il n’est pas. Et si possible une épuisette en plus pour pêcher les cadavres. Permis lui est donné de débarquer à Malte, ses cinquante-huit « néfastes » qui cherchent notre Eldorado, à nous. Et que nous répartirons péniblement en cinq de nos pays européens, non encore infestés complètement de la gangrène populisto-xénophobe qui nous ronge… Et nous « empêche » de voir : Nous, dans l’Autre qui se noie.
Manu, l’autre encore, celui d’Evry, lui, s’en bat les steacks de l’avenir de la France. Des mères et des enfants-migrants qui barbotent en Méditerranée en attendant de couler sans bruit, sous nos yeux sales, vinés. Contrairement à ce qu’il nous a répété pendant des années, la France : on peut l’aimer et la quitter quand-même… Sans reconduite, ou déchéance de quelque nationalité. Mais, Manu, dit : la Paillasse essonnienne, ce n’est pas un traître, ni encore moins un déserteur. C’est un : Honneur à la République ! Et compagnie. Il y a là du « Panache », à passer les Pyrénées, comme dit son pote Christian-Ultra Brite-de Nice… Un exemple certainement à suivre consistant à faire primer sa carrière sur quelque éthique qui soit. Ainsi que l’aurait fait un transfuge du temps de l’URSS. Scientifique. Il aura passé le mur. Celui du SM ; et du communisme ; pour parachever son combat contre le bolchévisme ambiant, au nom de la supériorité de sa grand-mère… Allez comprendre.
Chouette époque ! Qui donne envie d’enseigner à nos enfants toutes les Sciences Politiques qui vaillent. Pas les autres. Soit : elles-mêmes, occultes. Pour mieux appréhender ou comprendre les bombes qui gronderont demain, et les invasions rampantes, là où elles sont vraiment. Dans cette attente, « il faut coder les communications, les transmissions. Exceller dans l’espionnage et le meurtre discret, dit : élimination ciblée ou préventive ». Nous dit : On… Et crypter la notion même de : Liberté, au sens où l’entendrait le « grand public ». Souvent : arriéré, selon « Nous ». On est : Somme. En 1916, bientôt…
Les opinions moisissent, en effet. Sauf anaérobie. Et si tout cela fait peur, disons-nous que « tout cela » n’est pourtant rien comparé à ce que subissent certains champs d’oliviers, aux rameaux militaires, ou certaines colombes néo-colonialistes. Aux becs de ptérodactyles.
Face aux cerfs, nous bichent, volants du Chaos… Ne nous reste qu’à jeter nos derniers missiles dans la bataille. Pour faire « Marcher » le Commerce… du bien contre le mal, toujours et encore. Les bons et les pas beaux. Les justes et les génocidables. Comme d’hab… Les Caïn, les Abel… Ne nous reste plus qu’à attendre. Que les chars se remettent en route. Bientôt. Ils passeront sous nos fenêtres. Eric, lui, le sait bien. Civile ou mondiale, elle arrive. A grands pas. Avec talons, cirage, écus, dollars et Livre… Sterling. Clash disait déjà, à l’époque : « London Calling… ».
« To the underworld… ».
Que dire d’un tel désordre mondial ? Que nous n’aurons rien vu venir ? Que notre responsabilité personnelle n’est pas engagée ? Que, pauvre de nous, nous n’y pouvons rien faire ? Que tout cela nous dépasse, au point de ne pas considérer utile d’agir ? Ou plutôt dénoncer ?... Son voisin : le Système ?...
Fi ! Diantre, fichtre, que nenni Monseigneur ! C’est trop croquignolesque…
Pour nous… Il est déjà trop tard. Allons-donc nous coucher ! Pleutres. A nouveau. Laissons passer l’orage. Et écoutons l’Histoire, si flûtement racontée. Si acide soit-elle, où : îles. Surtout soyons prudents. Voir lâches assurés. C’est plus sûr pour nos miches. Et nos proches.
D’ici là…
Bisous à la Famille. Et aux treize qui font sept. Comme dirait Eric-La Fouine : « ça va pêter !... ». Et Eric-Le Magicien : « ça fait flipper !... ». Ha ! Saint-Antoine… De Padoue ou d’ailleurs. Béni sois-tu ! Ou que tu sois. Et que tu sois ou pas.
Né trente ans après la tragédie de la dernière guerre mondiale, en pleine crise pétrolière, j’avais cru comprendre que notre civilisation, éprise de liberté, de démocratie, d’égalité, de Paix, de droit et de justice universelle, était consciente des horreurs par elle générées jusqu’alors. Et connaissante de quelques unes des raisons de ses égarements dans l’Histoire, autrement appelées : Boucheries… Au point de tout faire, sans pour autant verser dans le terrorisme Veganiste, pour éviter de reproduire les pires massacres que nous ayons connus. Fusse-t-ils au prix du Baril. Ou du Bismuth… Mais non !
Il nous faut là concevoir que définitivement : « Bis-errero humanum est »…
(Aux rwandais).