Quatre jours après la manifestation aux flambeaux qui a rassemblé 300 manifestant.es malgré le froid glacial, les rues de la sous préfecture varoise ont vu défiler environ mille personne, autant que le 31 janvier, venues en famille, parfois pour la première fois, chanter et crier leur opposition farouche à la volonté du gouvernement de nous faire travailler plus.
L'ambiance y a été conviviale, joyeuse, les revendications ont été chantées tout au long du cortège par de plus en plus de manifestant.es.
https://twitter.com/NathalieVive/status/1624497304181809154?s=20
Avec une nouveauté, un grand classique des manifs d'antan, repris avec jubilation: "Tout est à nous, rien n'est à eux! Tout ce qu'ils ont ils l'ont volé! partage du temps d'travail, partage des richesses, ou alors ça va péter!"
La joie de se retrouver dans la lutte, de redresser la tête, est perceptible.
Au programme pour la suite: aller à la rencontre de la population par tous les moyens possibles, pour grossir les rangs de la prochaine manifestation, le samedi 4 mars, avant la grève générale du 7 mars.