Notre Association à but idéal (hors partis) Les Dissident(e)s de Genève (DDG), fondée le 17 juin 2008, a pour buts de défendre le principe fondamental des libertés vis-à-vis des restrictions et limitations dont celles-ci font l'objet de plus en plus marquée...dont le droit de fumer sans nuire ni incommoder autrui...
Extraits de nos statuts:
b) Prévenir, dénoncer et combattre le harcèlement des citoyens etdes habitants aux prises avec des abus technocratiques imposés pardes administrations ou des autorités investies de la puissancepublique.
c) Etablirun système de veille sur les « technologies émergentes »dites NBIC (nano-technologies, biotechnologie, technologies del’information, sciences cognitives, biométrie, etc.), en dénoncerpubliquement et combattre le caractère abusivement intrusif dans lasphère privée des individus chaque fois que nécessaire.
d) Maintenir et promouvoir les droits de mobilité et de stationnementdes habitants et citoyens sur le domaine public pour leurs activitésprofessionnelles, économiques, culturelles, sportives, sociales,familiales et de loisirs ; lutter de la façon qu’ilconviendra pour que Genève redevienne une ville propre.
e) Agirpour que les fumeurs ne soient pas relégués au rang d'exclus de lasociété.
Notre site contient plus de 750 "posts" et articles consacrés à la prétendue "fumée passive mortelle", une "escroquerie absolue" selon l'illustre prof en pneumologie parisien, le Prof. Philippe Even. (cf video) Le rapport du Prof. Robert Molimard (Paris) est accablant pour la notion fallacieuse de "fumée passive mortelle", reprise et calquée servilement par des sectes américaines hygiénistes qui l'ont empruntée au Dr Lickint, soutenu par Goebbels et Hitler avant 1934 .(Die Deutsche Frau raucht nicht !)
http://www.lesdissidentsdegeneve.ch
La Prohibition du tabac dans les lieux publics est avant tout un instrument idéal de contrôle social. Avec ou sans ce diktat contagieux
il n'y aura pas un mort en moins ou en plus dans les pays qui ont gobé les billevesées des prophètes dogmatiques de la "fumée passive mortelle".
Cependant, on ne se libère pas si facilement de 20 années de matraquage et d'endoctrinement sectaire à l'échelle planétaire.
http://www.lesdissidentsdegeneve.ch
Par nos actions, (recours au Tribunal fédéral, référendum populaire) nous sommes parvenus jusqu'ici à maintenir le droit de fumer à Genève, l'un des 23 Etats de la Confédération helvétique, contre la volonté du gouvernement et du parlement local.
Pourtant, en revanche, nous n'encourageons nullement le tabagisme (réellement nocif et reconnu comme tel) mais n'admettons ni l'autorité du rapport miteux de l'OMS (siège à Genève !) sur la prétendue et chimérique "fumée passive mortelle", document dont la méthodologie viciée est fort critiquée par des scientifiques de haut vol ni l'immixtion de l'Etat dans les affaires privées des patrons d'établissements publics qui devraient, comme les charbonniers,demeurer maîtres chez eux.
A quand une "police alimentaire" aux caisses des super-marchés pour trier les denrées qui conviennent ou ne conviennent pas aux obèses, aux maigrichonnes ou aux boulimiques ?
A quand des flics dans nos alcôves pour vérifier la conformité de nos ébats :-) ?
Actuellement la Suisse dispose d'une loi fédérale (applicable à tout le pays) qui permet non seulement l'installation de "fumoirs" ad hoc séparés et ventilés mais aussi le droit pour les cafés de moins de 75 mètres carrés de se déclarer fumeurs ...ou non fumeurs.A choix.
Cette loi fédérale laisse, en revanche, la possibilité à chacun des 23 Etats souverains de la Suisse fédéraliste le droit de légiférer de manière plus stricte. Les autorités législatives et exécutives de Genève avaient choisi la voie de la Prohibition intégrale (hormis les "fumoirs", véritables lazarets ajoutant à l'ostracisation et à l'anathémisation des fumeurs).
Durant les mois de juillet, août et septembre 2008, les autorités genevoises avaient décrété la Prohibition par le biais d'un simple décret . Un recours de deux citoyens auprès de la plus haute instance judiciaire a déclaré ce décret nul et non avenu (pour abus de pouvoir) Durant ces trois mois de Prohibition illégale, le chiffre d'affaires des cafés restaurants a chuté en moyenne de 50 % !
Depuis lors, le 22 janvier dernier, le Parlement de Genève a adopté une loi de Prohibition (avec la possibilité de ces "fameux fumoirs"
que seusl 2 % des établissements publics sont capables d'envisager, faute de place ou de moyens financiers. Ces lieux sans service ne sont d'ailleurs pas acceptés par la plupart des "fumeurs-parias").
Les Dissident(e)s de Genève ont réussi jusqu'ici à s'opposer à l'entrée en vigueur de ce nouveau diktat par voie de référendum (il suffisait de réunir 7'000 signatures de citoyens de Genève dans un délai de 40 jours pour que la question soit soumise au peuple. Nous en avons obtenu plus de 14'000 en 30 jours, avec nos alliés, la Sté des Cafetiers, restaurateurs et hôteliers de Genève (SCRHG).
Actuellement, il vaut mieux se munir de "tables de la loi" et d'un GPS pour savoir où il est permis et où il est interdit de fumer dans les lieux publics en Suisse. La législation varie d'un village à l'autre, selon l'Etat dans lequel on se trouve... De très nombreux Français de la zone frontalière (Annemasse, notamment) viennent d'ailleurs régulièrement se détendre dans les établissements publics, cafés et boîtes de nuit et casinos de Genève où il est encore permis de fumer.
Les surfeurs français de Mediapart, en consultant notre site Web précité, peuvent en apprendre beaucoup sur ce qu'est un référendum
"à la suisse" (aucun rapport avec le "référendum" à la française qui est, en fait, un plébiscite) ou une "initiative" populaire. Ces deux droits existent aux niveaux des communes, de chaque Etat et de la Confédération toute entière. Les autorités exécutives et législatives et les partis politiques qui participent à nos gouvernements de coalition sont souvent désavouées par le peuple "souverain" lors de tels scrutins populaires sans que nul magistrat ou ministre ne songe à démissionner lorsqu'il est platement désavoué...
Les Suisses, vous le voyez, ne sont pas qu'attachés à leur secret bancaire mais surtout à leurs droits populaires, épées de Damoclès constamment suspendues sur la tête de nos élus... Une entrée de la Suisse dans l'Europe signifierait l'abolition immédiate de tels droits totalement "euro-incompatibles" et inimaginables dans d'autres pays voisins...
Pour Les Dissident(e)s de Genève (DDG)
J.-A. Widmer (Président)
easysmoke@gmail.com
Tel: +41 22 800 04 04