La névrose
Rolala
Cette maladie
C’est terrible
Tous les jours tous les jours
Mourir sans mourir
Le plaisir des frustrations te grouille dans la cervelle
La névrose qui ronge la cervelle
Quel amour de maladie
Quelle bonheur interminable
Quelle excellente petite campagne
Même les guerres les plus cruelles n’en viennent pas à bout
Rolala la névrose
La douleur des désirs
Amour amour
Destruction banale et sans l’aide de personne
Etendues infinies de malheur avec abysses, trous, et que crève l’intelligence
Ro dis donc le grand plaisir de la névrose
La passion pour l’étau où sont coincés les paysages et l’infini des steppes
Amour de névrose
Rolala
Cette maladie terrible
Et pendant ce temps-là putain le permafrost est en train de carrément fondre.