Suite à une mise en demeure reçu début janvier de la part de l'avocat de LVMH, DFS, LA SAMARITAINE, 6 de mes articles, soit la moitié, sont effacés. Je n'ai reçu aucun mail de la part de médiapart pour me prévenir de la suppression de mes articles. Ils s'agit de témoignages, parfois de texte quelques peu caustiques et satiriques. Comment peut-on parler de liberté d'expression, de liberté de la presse, et museler les personnes d'une telle façon?
Mes articles seront retravaillés, de nouveau publiés, et le seront encore et encore, jusqu’à ce que la justice me contraigne à me taire et à les supprimer.
Jeudi 20 Janvier 2020, je suis avec un ami. Nous parlons de "l'affaire Samaritaine", je me connecte sur Médiapart pour lui montrer certains passages de mes articles et lui expliquer la situation. A ma grande surprise, il ne reste que 6 articles sur les 12.
Je me rends sur twitter, ou mes articles sont postés pour retrouver des liens qui mènent directement à ces derniers, sur twitter, la situation se précise.

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je repense donc à la mise en demeure reçue le 5 janvier. La seconde depuis mars 2021. Comme la première, celle ci repose sur peut de chose.

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Est il vraiment nécessaire de retirer INTEGRALEMENT un article pour les raisons mentionnées ci dessus?
Pour une meilleur lisibilité, détaillons ensemble les propos soulevés par l'avocat que je vais copier coller ici :
https://blogs.mediapart.fr/notsosama/blog/230122/mise-en-demeure-de-la-part-de-lvmh-et-liberte-dexpression