Membre de la famille du pire des virus sur cette terre
Abonné·e de Mediapart
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Comme il est indécent cet aveuglement Qui rime si bien avec égarement Où ils s’écharpent pour rien Se mettant en lambeaux Au lieu d’être sur leur trente et un Peur de plaire, ils ne font que déplaire Oubliant cette beauté intérieur Les laissant superficiels Alors qu’on les voudrait Juste profondément existentiel. Mais ils sont juste passéistes A en profaner les tombeaux Insultant l’humanité Reniant même ce qui nous fait. Jetant même à la poubelle Des milliers d’années de curiosité Se refusant de mettre en partage Toutes ces erreurs que nous à léguer notre ignorance Préférant s’entre tuer que d’apprendre à se connaître Se permettant d’oublier Cette vie juste offerte Sur cette oasis de vie Unique dans l’univers Et qui nous a permis De l’appeler Terre. Où leurs peurs de l’avenir Les font tant souffrir Qu’ils n’ont que la mort à proposer Pour sauver cet amour parfait Graver dans le marbre de leurs intolérances Oubliant de donner le meilleur d’eux mêmes Pour que les gens se sentent aimer De peur de devoir partager. Préférant être ignobles Pour se protéger Ne faisant que s’emmurer Dans cette médiocrité Où sifflent les fouets Laissant la violence N’être qu’une espérance Alors qu’elle ne fait fuir Que les gens braves et bienveillants Où la confiance s’étant fait la malle Le pire s'ingénie inexorablement à tout détruire.
Agrandissement : Illustration 1
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.