Comme ils sont doux,
Ces rayons de soleil
Qui caressent la ville,
De cette longue nuit d’hiver,
Vous laissant un sourire
Aux cris des enfants
Dans la rue qui s’amusent
La vie bat son plein
Tiraillante à souhait
Entre l’amour entre ces mots
Et celle de cette réalité
Implacable et envoûtante
Où notre humilité s’oppose
A cette arrogance qu’on nous impose
Nous laissant loin de notre besoin d’égalité
Que l’on n’ose même plus l’appeler réalité
Et où l’on s’ennuie
Devant leur manque de lucidité
Sous les lourdes chaînes
De leur manque de confiance
Qui leurs donne le droit,
De prendre le temps
De ne pas mettre nos jours en danger
Sans aucune générosité.
De peur d’en porter la responsabilité.
Laissant ces âmes sans absence
Nous en condamner
Où pour eux plus que jamais
Ce n’est que faiblesse d’esprit
Assouvissant leurs besoins de possessivité.
Agrandissement : Illustration 1