Comme elle est odieuse Cette lâcheté Qui les laisse là Les bras croisés Sous les claquements des fouets De leurs absences Où s’affichent leurs appétences Pour ces tortures culpabilisantes Nous laissant aveugle A leurs incompétences Qui nous délaissent Dans les violences De leurs besoins d’inégalité Dans cet espoir De pouvoir toujours en profiter Avant de devoir prioriser Où même les objectifs de Mars Nous laissent hagard Au regard de ces années amères Qui nous tendent les bras Et Où l’on a plus le choix.
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