Membre de la famille du pire des virus sur cette terre
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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Le soleil brille Sur les pavés de la ville Comme ce jour là Où l’on avait pas le droit De s’endormir sur nos lauriers Mais où tu as crue* bon partir En courant, laissant tomber ton sac Avec ton courrier du cœur dedans Qui ne laissait aucun doute Sur nos malentendus Qui avaient pris le dessus Mais il y a tant à faire Supportant les velléités des chaînes De leurs écœurantes générosités Qui n’étancherons jamais Notre soif de vivre Où l’on se retrouve toujours Sur ces barricades de l’inacceptable Pour cette liberté que l’on se donne Pour cette égalité que l’on se doit Pour cette fraternité que l’on s’arrache Pour cette vie généreuse Et ses Fêtes offertes délicieuses A nos vies joyeuses Amoureux fou De cette Terre généreuse Où notre lucidité Âpre et déchirante Nous laisse là Sur l’océan déchaîné De nos ignorances Où rester sans rien faire N’est plus fait pour nous plaire. Nous laissant aux regrets de nos violences Où les choix sont en absence Caressant les cicatrices nacrées De notre besoin d’humanité
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