Membre de la famille du pire des virus sur cette terre
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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Oh toi mon amour, ma beauté Où tous tes mots Où tous tes gestes Où même ta façon de t’habiller Me disent que tu m’aimes
Faisant de ma vie un rêve Dans les turpitudes De leurs regrets Où s’affichent la violence De leurs possessivités Où l’on se glace De toute appartenance A leurs absences Où notre besoin d’égalité Les offense, pour cette fraternité Qui les oblige, ne leurs permettant plus De violer nos libertés
Toi mon amour ma beauté Qui avec délicatesse A pris le temps Pour je ne sais quelle raison
De me permettre de ne plus avoir peur De blesser les gens de mon absence Où de leurs vies d’ange Les erreurs n’ont jamais De tords partagés Nous poussant jusqu’à notre dernier souffle A tout faire pour que leurs oisivetés N’esclavent plus personne
Oh toi mon amour ma beauté Comment pourrai je t’obliger En quoi que ce soit
Alors que tu ne fais Que donner vie A tous mes rêves Où le pire n’a plus le droit d’exister Pour cette vie qui nous est offerte Où notre ignorance Leurs permettront toujours De nous pousser à nous entre-tuer Pour un bout de terre ou de mer Pour des croyances sans tolérance Pour des trésors qu’ils ne partagent guère Au nom d’alibis Qui méprisent notre besoin De démocratie
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