Plus de 1 200 000 de personnes contaminées à travers le monde,
70 482 décédées et à peine 270 000 qui en sont guéries.
Ce qui fait plus de 900 000 personnes
qui peuvent encore transmettre ce virus ?
Sans compter tout ceux qui en sont atteints et qui ne le savent pas encore,
ou qui en sont tout simplement des porteurs sains.
D'autant que cela ne fait que commencer en Amérique du Nord, du Sud et en Afrique.
Et on est là, à hésiter, entre confinement, port du masque ou tester la population,
pour pouvoir, non seulement soigner les personnes qui en sont atteintes,
mais surtout leurs donner le droit de ne pas contaminer le reste de la population.
Certes on a fait des erreurs !
Au nom de quoi ?
Peut importe, car en réalité quand on y réfléchit bien, ce n’est pas reluisant, bien au contraire.
Et dans l’histoire personne n’est innocent, car tout le monde y avait malheureusement un intérêt.
L’heure n’est pas à la diatribe, ni au réquisitoire ni au jugement, mais à la solidarité,
qui a manqué jusqu’à ce jour et qui malheureusement, nous a amené là.
Il faudrait commencer à penser sérieusement à sauver le plus de gens possible,
de cette épidémie qui ne risque de ne pas en finir, si nous restons là,
les bras croisés, à savoir si on a le droit de dépenser cet argent nécessaire
pour sortir de cette impasse sanitaire et bien sur économique.
Et cette question stupide, que l’on ne devrait même pas avoir à se poser, revient sur le tapis.
La vie des gens sur cette terre ou l’argent ?
Questions de bon sens ou de conscience ?
Ou peut-être tout simplement d’inconscience ?
Et surtout de penser un peu, à tous ces gens qui sont là, tous les jours, à fond les manettes,
à tout faire, même à y laisser leurs vies, pour tous nous sauver et qui s’organisent tous les jours,
avec le peu de moyens que nous leurs donnons pour le faire et qui y arrivent, Eux,
bon gré mal gré, fier un peu plus tous les jours, de mieux y arriver.
Aller! un peu de générosité ! Donnons leurs les moyens d’y arriver, sans les condamner.
Le vaccin n’est pas encore trouvé.