Le ciel s’est couvert De son plus beau manteau gris Gris vert au sortir de l’hiver Ne laissant passer Ni rayons de Soleil Ni de Lune Nos larmes trahissant Notre douleur Devant leur désinvolte mépris Où l’on s’en veut Encore plus que jamais De leurs avoir prêté Cette faiblesse D’avoir baissé les bras Devant l’exigence de nos vies Mais où tout compte fait Nous sommes obligés De se faire à l’idée Que leurs pas ne sont guidés Que par leurs intolérances à notre altérité Où la violence et la mort Reste comme un espoir Pour ce monde sans importance Sous leurs dépendances
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