Membre de la famille du pire des virus sur cette terre
Abonné·e de Mediapart
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Quelle tristesse De voir ce temps Être dilapidé Par toutes ces âmes assassines Pour qui la vie n’a plus aucune importance S’enivrant du parfum acre De la poudre et du sang. Faisant encore et encore de l’histoire Qu’un perpétuel recommencement Se vautrant allègrement Entre rancœur et vengeance Pour des dieux obscènes et absents Pour qui l’on s’abandonne A des mots aussi absurdes que méprisant Que sont les guerres de religions Ne faisant qu’afficher Notre ignoble ignorance Notre coupable allégeance A cette violence Que l’on cultive allègrement Dans le plus grand des silences Depuis la nuit des temps Nous laissant animal Et fier de l’être Nous donnant le droit tuer En toute impunité Pour cette vie formidable Qu’ils nous ont soi-disant donnée Et que l’on ne veut surtout pas Apprendre à partager.
Agrandissement : Illustration 1
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.