A part Magnifiques Barbares 2012 et DreamLove 2017
Tous les autres textes sont contemporains de cette crise sanitaire inédite, qui plonge le monde dans un profond chamboulement, idéologique, politique et économique.
Du moins pas pour tous, puisqu'il y en a qui sont prêt à continuer comme avant, à reproduire les mêmes erreurs, voir même pire, puisque certains dirigeants, pour soi disant relancer plus facilement leur économie, ne veulent plus tenir les accords pris, pour lutter contre le réchauffement climatique. Ce qui équivaux quoique l’on en dise, à un pas en arrière, ce qui est absurde, regrettable et surtout quelque part criminel.
Et si je suis en désaccord avec certains économistes, ce n’est pas sur le fond de leurs visions qui me paraissent constructives et surtout viables pour une démocratie digne de ce nom, où sans justice sociale, une démocratie est malheureusement vouée à s’effondrer.
Ce qui me chagrine surtout, ce sont les actions qu’ils veulent entreprendre, où leurs solutions sont toujours malheureusement aléatoires au niveau du temps, pour qu’elles soient efficaces.
Car vouloir agir seulement en devenant actionnaires dans les entreprises, leurs laisse le champs libre, sans véritable contrainte de temps.
Alors que nous avons cette opportunité, qui ne se représentera pas d’aussitôt, d’être obligé d’investir massivement pour relancer l’économie, alors pourquoi ne pas les obliger à essayer de rattraper ces 40 années de retard que nous avons perdues, dans la lutte contre le réchauffement climatique, la préservation de la nature et une justice sociale enthousiasmante pour notre économie et permettre enfin à notre démocratie, de sortir de cette crise de l’abstentionnisme grandissant.
De toutes les façons elles seront tôt ou tard obligées de faire ces investissements, alors à quoi bon perdre du temps et de l’argent puisque du coup, ce retard dans les investissements, eux aussi auront un coût.
D'autant qu’il faut agir impérativement dans les 10 prochaines années.
Aujourd'hui deux mondes s’affrontent:
- Celui qui ne veut pas laisser de dettes aux générations futurs quitte à leurs laisser un monde invivable.
- Où celui qui veut leurs laisser un monde viable, mais malheureusement avec des dettes.
Sortirons nous de ce conformisme de la gestion de la dette public,
qui au regard des injustices sociales savamment entretenues depuis plus de 100 années,
incombe au monde de la finance,
qui s’est enrichi,
sans vergogne,
avec cette gouvernance infantilisante.