L'égalité, toujours l'égalité, rien que l'égalité

Personne ne l’a obligé à être violent,
ce n’est que ce conformisme aliénant
qui fait qu’il n’a pas eut la présence d’esprit,
qu’il n’y avait plus rien qui les rapprochait.
Quand on aime les gens les mots suffisent  pour expliquer ses désaccords,
quand la violence s’en mêle,
c’est qu’il y a un manque de compréhension du conflit qui nous anime
et cela est très problématique,
car la possessivité dans les relations humaines,
nous laisse juste au rang d’objet
et c’est déplorable de savoir
que des gens qui nous représentent politiquement,
en sont encore à cette bassesse d’esprit.
Comment accepter en démocratie
que pour les gens qui nous gouvernent
et décident de notre avenir,
il leurs est impossible de prendre conscience
que la violence n’est qu’un viol de nos libertés.
Surtout pour des gens qui se disent de gauche
et pour qui la démocratie est la pierre angulaire de leur soi-disant façon d’être,
cela est complètement outrecuidant de vouloir combattre les pères fouettards en tous genre
et se permettre de l’être encore.
Sans parler de l’exemple que l’on donne aux jeunes générations,
où certains n’ont aucun mal à afficher leur manque d’égalité vis à vis des femmes
et où on est obliger de les reprendre devant le machisme dont ils font preuve,
sans parler de tous ces gens qui sont violent avec les femmes et à qu’ils donnent raison.
Mais c’est tellement plus facile de se dire
qu’elles n’ont que ce qu’elles méritent,
alors qu’elles n’ont besoin d’être aimer
que comme elles sont
et non d’être obligé d'être
comme le voudrait ce qui prétendent les aimer.