Membre de la famille du pire des virus sur cette terre
Abonné·e de Mediapart
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Quoique je fasse Où que je sois Dans les tempêtes australes Ou au comptoir du Central Ton sourire brûle en moi Comme les étoiles De cet incommensurable univers Laissant ma vie toile A cette infinitude de couleurs Que t’as semée Aux parfums enivrants De toutes ces fleurs Dans cet oasis de vies Qui nous l’a offerte Me déchirant Aux barbelés de leurs absences Où ils cultivent l’obscurantisme De leurs ignorances La peur les rongeant A t’en faire taire. Y préférant ces sentiers boueux Aux parfums acres De poudre et de sang Heureux et fier Distillant la violence Juste comme essence. La liberté de laisser L’Égalité en offense Travestissant la Fraternité En de vulgaires privilèges Nous marquant au fer rouge De leur irrationnel réalité Qui nous laisse vulgaires objets
Agrandissement : Illustration 1
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.