Comme tes mots Me sont doux Enchantant mon âme Même si ma plume Pleure toutes ces âmes Que les haines Des hommes et des femmes Ont déchirées Comme de vulgaire Feuilles de papier Où leur crime Fût celui d’afficher Juste ce qu’ils étaient Impures aux yeux De cette folie humaine Que l’on appelle criminelle Et où les gens se laissent à croire Qu’ils ont droit de vie ou de mort Sur tout ceux qui ne leurs ressemblent pas. Les empêchant juste de vivre Comme ils ont envie d’être. De peur de ne plus pouvoir être Comme ils s’obligent d’être. Où la violence n’est là Que pour soumettre, Laissant notre démocratie A cette guerre perpétuelle Où les imposteur s’engraissent Sur le dos du malheur des autres Faisant passer, pour mieux en profiter, Pour une faiblesse d’esprit, Cette grandeur d’âme A vouloir toujours être Juste un peu plus humain
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