Membre de la famille du pire des virus sur cette terre
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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Ils sont tomber là, bien bas Sur le sol de cette ignominie Qu’en eux ils portent Comme de vulgaires feuilles mortes Tapis moelleux pour ces vieux jours Tant mérités où la facilité comme toujours Les laisse errer dans ce conformisme Où la fatalité les écarte de tout réalisme Laissant leurs violences se déchaîner Contre nous, pour notre besoin d’humanisme Se refusant pourtant de l’être Envers ces criminels sans foi, ni loi Qui ont oublié de l’être Ne faisant malgré eux Que leurs ressembler. Nous laissant amère Sans autre choix Que de refuser De continuer De les laisser faire. A moins de se faire lobotomiser Pour oublier, ce qui nous a fait. Décrochant des frontons de la cité Ces mots dorés Liberté Égalité Fraternité Se permettant, comme des dieux sur terre De croire, on ne sait pourquoi Que le temps est enfin arrivé Pour qu’ils aient le droit de le faire.
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