Membre de la famille du pire des virus sur cette terre
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Enivrante vie de rêve A yeux ouverts Où les voyous se font rois Où les assassins gavent les oies De dieux et de guerres Les laissant au pas. État de siège En mot de passe
Enivrante vie de rêve A yeux ouverts A fond les manettes Perlinpinpette Toujours qu’à moitié Faisant de ce « Tous ou rien » Qu’un barbelé A ce modèle Que vous vénérez Où la faiblesse N’a pas de place Dans le fil des palaces En guerre contre des chimères Où il n’y a jamais rien à partager. Ne faisant jamais de prisonnier.
Enivrante vie de rêve A yeux ouverts Où notre lâcheté N’ a rien a redire A ce qui nous laisse en guerre Laissant la laïcité Tremper dans de sales affaires La violence En porteuse d’affaires. Le racisme en régie publicitaire. Pour des lobbyistes terre à terre. Pour qui, il n’y aura jamais de lettres de feux ! Car le sang ne sera jamais l’engrais De notre soif d’humanité.
Enivrante vie de rêve A yeux ouverts Comme une aventure sans fin Que l’on déporte Au grès de ces peurs Qui se colportent Où le pire s’amuse à tout détruire Pour cette confiance qui flanche Pour cette vie qui tranche Où la mort se sème Comme un champs de blé Dans les orages de nos oublis Où Tous ou rien nous sépare Où partager Nous égare Se laissant viscéral Pour se donner le droit De s’offrir le pire. Un doigt d’honneur à la vie Pour seul honneur. A ces misérables perdant.e.s Que nous sommes devenu.e.s. Incapables de partager Assoiffé.e.s de sang La laissant faire Ce qu’elle veut de nous Jusqu’au bout Pour se délecter De cette ignominie Qui s’amuse à compter les morts.
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