Membre de la famille du pire des virus sur cette terre
Abonné·e de Mediapart
La vie a-t-elle un sens sans elle
Cette période indescriptible, tant elle est imprévisible, contraignante, mais aussi très troublante, où notre manque de liberté devient insupportable.
Mais profitable à une prise de conscience, où révolutionnaire on l'est et on le reste avant tout, en soi et où son spectacle est quelque fois plus que désolant. Nous ramenant à ce que nous sommes et effectivement à nos absences.
Membre de la famille du pire des virus sur cette terre
Abonné·e de Mediapart
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
On était deux, on était cent On était mille, on était des milles et des cents Bras dessus bras dessous Dans les rues de la ville A vouloir changer ce monde Sans un mot de haine Sans une goutte de sang Aidant de notre mieux Tous ces révolutionnaires Qui avaient, contre vents et marrées Commencé à construire Ce que certains appellent des rêves N'étant qu'une façon d'être En harmonie avec cette planète D'être honnête avec cette vie qui nous est offerte Et pour qui l'égalité que l'on se doit Rendent nos faiblesses enthousiasmantes Refusant leurs surexploitations
Agrandissement : Illustration 1
Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.