Membre de la famille du pire des virus sur cette terre
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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Pas plus haut que trois pommes Ils gambadaient déjà dans la nature. Connaissant tous les coins et les recoins Où se cachaient les friandises Qu’elle offrait généreusement. Détournant leurs chemins Si leurs retards ne leurs laissaient plus rien, Vers les jardins des grands pères Juste de quoi apprendre De nouvelles histoires Et s’occuper du jardin D'arracher quelques mauvaises herbes Que l’on jetait dans le bac à purin Tout en goûtant Quelques carottes ou radis Juste extirpées de terre. Quelques fraises Qui se rafraîchissaient De cette après midi passé au soleil Dans le bassin de la pompe Qui arrosait paisiblement le jardin Et sur le chemin du retour Au soleil couchant Ils cueillaient quelques fleurs encore ouvertes Au cas où ils n’arriveraient pas à la maison Avant le dernier rayon.
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