Membre de la famille du pire des virus sur cette terre
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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Comme les mots paraissent dérisoires Si facile à faire rimer avec trop tard. Nous laissant là sur le trottoir. Où sans tambour ni tempête Le temps nous fait la fête Pour notre rôle si dérisoire. Dans cet écosystème idéal Qui nous a laissé apparaître Et où notre ignorance destructrice Nous laisse de moins en moins de place. Alors que nous sommes De plus en plus nombreux A en vouloir une place Le monde a changé Pas comme on le voulait Aujourd’hui il faut apprendre A faire avec ce qu’il est devenu. Une cocotte minute géante Où nous sommes les seul.e.s A y gérer le feu. Où tout devient De plus en plus imprévisible A se refuser de tenir compte De ce qui est prévisible Pour mieux nous en protéger. Où l’on oublie Pour je ne sais quelle raison Que le début nous en à sortie Et que cette fin que l’on s’y donne Nous y replonge inexorablement. Où le sens de nos affaires Oublie qui a tant à faire Pour continuer de se permettre De ne rien faire, Contre cette ignorance Qui nous porte tort Nous laissant quelque part Barbares. Aux mains des plus forts Devenant soldats du pire Pour ce meilleur sans partage Où l’on ne veux plus être otage.
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