Sublimer notre vulgarité

Avoir comme seul idéal
Celui de vivre au temps présent
Ni au passé, ni dans des milliards d’années 
En avance dans le temps.
Loin d’être parfait
Dans cet état de guerre 
Dans lequel on se complaît
Depuis la nuit des temps
Sachant pertinemment
Qu’elle viol notre liberté
Se refusant de vivre en paix
Pour ne pas à avoir à culpabiliser
De ce manque d’humanité
Que cultive
Notre besoin d’éternité.
Se permettant en toute innocence 
De se défausser de celui du temps présent,
Où l’on ne sait plus trop quoi faire.
Laissant sans importance 
Cette nature qui nous offre la vie
Se tirant même des balles dans le pied
Pour mieux survivre.
Enchaîner à nos erreurs
Que l’on ne veux surtout pas mettre en partage
De peur de supprimer quelques avantages
Où l’on ne fait que perdre d’avantage,
Même du temps à essayer de mieux faire.
Juste fatigué de devoir mal faire.
Apprenant du coup à ne rien faire
Juste pour ce que l’on est payé.
Un peu, juste ce qu’il faut.
Par défaut
Où l’on ne peut pas s’en vouloir 
De ne vouloir rien faire 
Dans ce monde 
Qui nous pousse quelque part 
A toujours mal faire
Se refusant toujours 
Tout simplement 
De mieux faire.