Mépris de la vie

Le temps passe inexorablement
Les absences se font de plus en plus déchirantes
Que l'on se demande ce que l'on fait
De cette vie qui nous entoure
Sous le mépris de notre ignorance
A ce qu'elle est véritablement
Où nos peurs de ne pouvoir vivre
Nous pousse toujours à la violence
Nous permettant d'oublier
Ce que nous serions
Sans tous ces êtres vivants
Tout autour de nous
Et qui ont tout fait
Pour nous l'offrir
Et la permettre
Qui nous ont aidé.e.s
Et même sauvé.e.s
Que l'on ne peut s’empêcher
De se demander
Ce qu'ils nous arrivent
Pour qu'on les torture
Sans vergogne et sans regret