Membre de la famille du pire des virus sur cette terre
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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Malgré toute cette haine Qui comme un parfum acre De poudre et de sang Vous laisse au bord de la nausée Où la vie affiche Là sous nos yeux ébahis Toutes ces âmes redevenues barbares Engoncées dans leurs peurs Que flatte l’opportunisme De leurs tortionnaires bienfaiteurs Qui les considèrent Juste comme des chiffres Ayant le droit de vie et de mort Pour qu’ils restent au vert. Laissant notre humanité Au bord du gouffre De notre inconscience Happée par notre manque de respect Pour ce qui nous offre la vie Aveuglée par des certitudes D’un autre temps Qui nous font oublier Cette Oasis de vie Dans l’univers Qu’est notre planète Qui nous a permis De l’appeler Terre. Nous laissant toujours en guerre Pour cette fraternité Que les âmes soi-disant fortes Ne voient qu’en privilège. Laissant la violence Comme essence De nos existences. Violant nos libertés Dont ils n’ont rien à faire Pour leurs soi-disant Sens des affaires Où l’égalité est une offense A leur soi-disant dignité Nous laissant esclave De ce passé Qui au regard de notre actualité N’est qu’un crime contre l’humanité Se refusant par fatuité De reconnaître que toutes nos erreurs Sont à partager. Se permettant qui plus est de rester là sans rien faire Pour tous ces trésors de guerre Qu’ils ne partagent guère
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