La gauche ne se perd pas à cause de son besoin de populisme, mais surtout par sa perte de conscience à ce qu’est véritablement la démocratie, oubliant, pour on ne sait qu’elle raison, que la démocratie nous donne justement le droit d’être, tous des êtres différents.
La gauche se perd à cause de son impossibilité d’accepter ses divergences, se réfugiant, dans un dogmatisme de clans, ne faisant que refaire ce que les partis, dit de droite, n’ont jamais cessez justement de faire.
Où les gens ne sachant à quel saint se vouer, rejettent tout en bloc, puisque ils ne se retrouvent jamais dans ce manque de pluralité qui leurs permettrait justement de se retrouver.
La gauche se perd parce qu’elle oublie tout simplement, que la démocratie, c’est d’apprendre à partager le pouvoir et non à le prendre, où la violence n’est pas physique ou mentale, mais dans le faite qu’elle empêche les gens de prendre conscience de ce qu’ils sont et de leurs permettre de s’impliquer dans la vie quotidienne de nos sociétés.
Oubliant d’être à l’écoute de leurs aspirations les plus profondes, pour trouver des solutions ensemble, pour avancer sereinement et non de rester dans une confusion conflictuelle stérile, mais surtout dans un immobilisme déprimant et donc annihilant.
La gauche reste marqué au fer rouge
Par l’opportunisme de la droite
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