C’est difficile de travailler avec des gens, qui n’ont pas le même discours,
si tu es un enfant ou un adulte, qui se prétendent des professionnels de la culture et qui n’arrivent même pas avoir un discours respectueux, pour asseoir leur soi-disant autorité.
Parlant aux enfants comme à des chiens en leurs hurlants dessus, sans le moindre humour.
S’interdisant même de leurs faire la lecture de textes féministes, car cela leurs paraît inopportun.
Qui sont capables de te dire que l’on n’utilise plus de pesticide dans l’agriculture, alors qu’il s’en est vendu 7800 tonnes au cours de la dernière année, ce qui représente, si on prend en moyenne 80kg par personne, une ville comme Grenoble.
Mais le pire, c’est ce mépris envers les gens, où tu te sens obligé de les reprendre, quand une dame octogénaire, vient demander les horaires d’ouverture du lieu où ils travaillent, se moquant d’elle une fois qu’elle est partie, la traitant de débile mental en quelque sorte, car les horaires sont affichés, à l’entrée de l’immeuble et à l’entrée de leur espace de travail, où ils oublient qui ne leurs appartient pas, mais aux gens du quartier où ils sont affecté.e.s et où leur mépris leurs font oublier qu’elle était venue peut-être juste pour parler, pour passer un moment agréable, au milieu de gens soi-disant cultivé.e.s.
Où sachant que tu es viré, parce que tu ne fais que les contrarier, tu ne t'impliques plus pour améliorer leur façon de travailler.
Tout cela parce qu’on les oblige à travailler, un dimanche par mois sauf pendant les vacances d’été. Où tu finis, par te dire, que tu as certainement mieux à faire, pour notre société, que de les aider à servir leur mépris envers les gens, pour qui ils sont tout compte fait payé.e.s.
Agrandissement : Illustration 1