Membre de la famille du pire des virus sur cette terre
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Difficile de dire non Sans blesser personne Mais aujourd’hui Devant cet immobilisme C’est difficile de rester Sans rien dire Sans rien faire Où la raison de nos déraisons Que nous laissent nos peurs De ne plus pouvoir être Nous laisse là assis Avec cet odieux fatalisme Où seuls « Les plus forts s’en sortiront » Nous laissant en tant qu’être humain Juste là, tout compte fait, Au rang d’animal Où d’un seul coup La nausée vous prend Alors que cela fait plus de 40 ans Que nous avons pris conscience Que nous détruisons notre écosystème Qui est juste unique dans cet univers Où chaque être vivant sur cette TERRE (Ecosystème dans lequel nous vivons, on finit par préciser, pour être sûr que l’on parle de la même chose) A un rôle, pour lui permettre de pouvoir exister Pour pouvoir garder son intégrité Et où notre vie, qui nous y est offerte, y est permise. Mais où notre possessivité maladive Nous autorise à la détruire, Pour soi-disant l’honorer. Que l’on a de quoi se demander Si l’on ne marche pas sur la tête Du moins en restant plus terre à terre Si on est pas entrain De se tirer une balle dans le pied. Mais notre sens des priorités Est trop enclin à notre dépendance Des chaînes indélébiles De la violence De nos possessivités Faisant que notre besoin de démocratie De Liberté, d’Égalité et de Fraternité Nous pousserons toujours A leurs dire Non Pour ce besoin d’éternité Que nous voulons pour notre humanité Et qui les offenses Car ils se permettent de croire Que cela les empêchera d’en profiter.
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