Membre de la famille du pire des virus sur cette terre
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Ce blog est personnel, la rédaction n’est pas à l’origine de ses contenus.
Comme il est atroce Ce monde Entre promesses et menaces Sous les fouets de nos arrogances Qui nous poussent encore et toujours A offrir le meilleur de nous même Là, maintenant, pas demain Où l’on se pardonne nos oublies ! Au regard de ce qui nous attache Loin de ces miracles sans taches Où l’on s’enchaîne à tout jamais En toute inégalité Pour les abysses de l’oublie De cette vie qui nous a laissé Fleurir humanité Que l’on renie Avec facilité Oubliant ce qui nous fait Oubliant toutes ces violences. Aveugle à toutes ces chaînes Qu’elles nous laissent Marqué au fer rouge De nos certitudes Laissant amer cette réalité Comme une offense Aux couleurs de la vie Déchirant notre curiosité Pour notre soif de doute Y laissant en sacrifice nos vies Pour mieux la connaître Pour mieux la comprendre Pour mieux la protéger Pour mieux lui permettre Juste de mieux être. Se refusant cette lâcheté De voir en face Tout ce mal Que l’on fait A ce qui nous offre la vie Nous laissant toujours En état de guerre Dans son duel avec la mort A laquelle on lui refuse toute égalité.
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