Certains, nombreux ont parlé.
La médecine est à double tranchant. Certains ont pour vocation de soigner (Quoi ?)
Maladroits, soyons tolérants, ils se gourrent. Ils ne font pas exprès, cela va sans dire mais ils nous ratent. Et alors sans rire nous disons qu'il y a des effets d'optique dans notre actualité. Peut-être une panne informatique. Voyons Bill.
Bill aime la pandémie, raffole du vaccin. Même prêt à claquer un max de pognon, à perdre un max de pognon. Crédule? Il y a des faiblesses chez Bill. Croyez l'astrologie. Dans la vieillesse Saturne Venus affligé en scorpion Jupiter Pluton qui morfle je crois qu'il a misé ses chaussettes même. Bill à poil. Mazette mais classique.
Bill ecoute moi si tu arrêtais avec l'Advil?
Fais moi confiaaaaance, raconte moi tes nuits. Délices de l'abstinence.
Comment un medecin, comment un medicament peut detruire ? La simple logique d'abord . En dehors de tout effet secondaire tout se transforme en son contraire. Voir "de la contradiction" de Mao Tse Toung (bibliothèque clandestine du Pcmlf). Voilà pour le yin et le yang. De plus , ici, l'Advil neutralise la douleur, physique, les psys ont plus élaboré pour tuer la douleur mentale, et l’Advil neutralise les sens donc la vie. Caput la nana avec son Doliprane.
Tu bandes ? Ça te tire un peu ? bobo ? Prends un Advil, Bill. Recta.
L'impuissance
D'abord les femmes comme les hommes, faites l'amour. C'est aussi une gymnastique.
Allez hop faites vos exercices de kiné (chérie, c'est l'heure de la gym)
Les cardiaques sont infectés de médocs. Les diabétiques, les pauvres gens en psy infestés scandaleusement . Qui reste t il ? La jeunesse . Tranquille . Tous les medocs rendent impuissants, effet plus ou moins rapide. Je ne sais pas comment ça agit, je saurais. Simple constat.