Un têtard, un végétal et du caca de têtard | photo de tarchamps | sous licence Creative Commons, Flickr.com
Les tags ou chaînes, appelons ça comme on veut, ont ceci de bien, c’est qu’ils servent à nourrir une inspiration quand elle est à sec. Je me plais à rappeler à mon cher lectorat majoritairement blogueur qu’il y a, dehors, au grand air, des milliers, que dis-je, des millions de gens qui ne lisent ni les blogs ni internet. Et qui s’en tamponnent le coquillard avec une phalange de schtroumpf grognon.
Tout récemment, Olivier m’interrogeait autour d’un verre, dans la vraie vie. Lui, un whisky, moi un Perrier tranche, et mon ridicule régime bavant devant une coupelle de grignoteries envoyant, la vicieuse, à mes narines stoïques des shoots de cacahuètes bien grasses. Je n’ai pas cédé et je vous donne la question d’Olivier : « pourquoi un blog, c’est quoi ton blog, à quoi ça sert un blog », je me la pose et puis j’oublie.
Saut de ligne.
Où en étais-je, Nadège ? Oui, les tags, les flux RSS etc. autant de mystères insondables que je réserve aux spécialistes de la spécialité. Pour ma part, je me contente de raconter des histoires. C’est la raison pour laquelle j’ai répondu à la demande de Joufflette qui m'écrivait : « y a-t-il un moyen d’être averti par mail de la suite de ton blog ? » Comme il s’agissait d’une affaire de la plus haute importance, j’ai sollicité l’aide de Jegoun (en m’assurant qu’il ne soit pas trop imbibé de bière) puis de deef (après qu’il eut répandu la sulfateuse sur son billet anti-Mickey) pour installer l’outil que vous pouvez admirer mesdames messieurs dans la colonne de gauche de ce blog, tout en haut. Un outil très Web1.0 mais j’aime le Web1.0, le Petit Robert dans sa version papier, le clavier Marsan, le super 8, et les lavoirs servant de lavoirs, toutes choses amies avec le siècle précédent.
Ce préambule long comme un dimanche sans pain pour vous amener à ce tag, donc, ce questionnaire que m’avait proposé See Mee qui répondait à Vlad qui répondait à El Camino qui répondait à Gaël, etc.
Huit petites questions sur l’enfance. Je vois mal ce que j’ai de bien original à vous dire sur mon enfance, nez en moins je laisse au vestiaire mon ironie maladive pour répondre simplement à ces questions bêtes comme chouquette.
1/ Quand vous étiez petit(e), que répondiez-vous à la question : « Et toi, que veux-tu faire quand tu seras grand » ?
Je voulais être astronaute. Et j’ai tout fait pour bâcler précisément les matières qui m’aurait peut-être permis de toucher du doigt ce rêve d’enfant. Alors, les étoiles, je les ai cherchées dans les livres, dans le théâtre.
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(Si par extraordinaire la suite vous intéresse, c'est à lire en cliquant ici. Merci pour votre curiosité.)