4 ans de jachère et ça repart, comme si rien ne s'était passé...
Un débat de 2010, autour d’un billet du blog de
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vient de se relancer, le 28/01/2014, 22:05 sans apparemment que l’auteur du billet primitif ne s’en mêle, ni ne s‘en soit même aperçu.
La situation institutionnelle de 2010 est tout à fait différente de 2014, et dans le « monde réel », la question de la psychanalyse et de la psychothérapie, si elle n’a pas changé quant à sa structure éthique et sociologique, s’est vu apporter des réponses et des non réponses qui changent le contexte de la discussion, alors que curieusement celle-ci se déroule et continue comme si rien n’avait changé.
Etonnant, non ?
Voici les échanges charnières:
26/11/2010, 11:50 | Par yann diener en réponse au commentaire de banquise2011 le 25/11/2010 à 20:28
ben justement les psychothérapies marchandisent le symptôme, la psychanalyse ne fait pas ça.
votre conclusion : vous avez lu un peu vite : c'est la psychothérapie, adaptative, qui risque d'empêcher l'insurrection ; la psychanalyse ne cherche pas à adapter, elle donne une chance à la parole donc à l'insurrection, déjà pour chacun
c'est très clair dans le Manifeste pour la psychanalyse, je n'ai peut-être pas réussi à en rendre compte..
26/11/2010, 12:52 | Par yann diener en réponse au commentaire de yann diener le 26/11/2010 à 11:50
j'ai mis en ligne une nouvelle version de mon texte que j'espère plus explicite
(4 ans de jachère, puis redémarrage : )
28/01/2014, 22:05 | Par Diogène de Tours en réponse au commentaire de yann diener le 26/11/2010 à 12:52
" ben justement les psychothérapies marchandisent le symptôme, la psychanalyse ne fait pas ça."
Là, j'avoue, rarement affirmation ne m'aura autant fait rire que celle-là. Rassurez-moi, Yann Diener, vous faites bien de l'humour ?
29/01/2014, 08:21 | Par sanyet en réponse au commentaire de Diogène de Tours le 28/01/2014 à 22:05
Je trouve l'expression "marchandiser le symptôme" obscure.
En tirer son profit? Le traiter en vue d'une adaptation du patient à une société marchande?
Cette curiosité me semble “symptômatique” des temporalités d’écriture sur Médiapart…
Il y a déjà une trentaine de nouveaux commentaires. Une toute petite "actualisation" par une référence à la trop fameuse "quenelle"...