Aujourd'hui, sur Internet, les recruteurs forment des équipes qui elles-même recrutent d'autres. Le premier de la file recrute, reçoit des commissions sur les ventes de ses recrutés. Recrutés qui recrutent, recevant des commissions et ainsi de suite. Le tout premier de la file en haut constitue un maillage qui s'élargit au fur et à mesure. D'où le terme pyramide.
Sur Internet, on trouve des ingrédients dangereux dans la composition de certains produits cosmétiques vendus comme "sains et naturels".
Sur Internt, le harcèlement est courant sur les réseaux sociaux par les recruteurs et vendeurs
L'article L. 132-19 du Code de la consommation sanctionne les ventes pyramidales d'une peine de 2 ans de prison et 300 000 euros d'amende. En outre, la personne condamnée s'expose à devoir rembourser à ceux de ses clients qui n'auront pu être satisfaits les sommes versées par eux.
Article L313-1 du Code Pénal
« L'escroquerie est le fait, soit par l'usage d'un faux nom ou d'une fausse qualité, soit par l'abus d'une qualité vraie, soit par l'emploi de manœuvres frauduleuses, de tromper une personne physique ou morale et de la déterminer ainsi, à son préjudice ou au préjudice d'un tiers, à remettre des fonds, des valeurs ou un bien quelconque, à fournir un service ou à consentir un acte opérant obligation ou décharge. L'escroquerie est punie de cinq ans d'emprisonnement et de 375 000 euros d'amende ».
Quelques informations sur le statut des VDI
L'activité de vendeur à domicile indépendant est une activité commerciale classique de vente.
Le vendeur doit se déclarer auprès du centre de formalités et obtenir un n° siren.
Il peut être pris en compte comme micro entrepreneur ( régime fiscal du micro BIC et franchise en base TVA ) selon le chiffre d'affaires réalisé.
Sous certaines conditions, il peut être exonéré de CFE.
Comme je vous l'indiquais, le statut du VDI en France, s'il s'agit d'un contrat de VDI " classique" est celui d'un entrepreneur indépendant.
Vous pouvez obtenir des renseignements complémentaires sur le régime fiscal des VDI sur le site service-public.fr ( recherche: vendeur à domicile indépendant).
VDI français, normalement indépendant ( mais devant reverser une partie de ses recettes à la société dont il vend les produits, clause dans le contrat ) serait simplement salarié?
LE STATUT VDI, RÉGLEMENTATION, PROTECTION SOCIALE ET FISCALITÉ
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Le Vendeur à Domicile Indépendant ou VDI dispose d’un véritable statut depuis 1993. Le statut VDI est particulièrement adapté au démarrage d’une activité de vendeur indépendant ou dans le cadre d’une activité complémentaire ou occasionnelle.
Le Statut VDI dispense le VDI (Vendeur à Domicile Indépendant) d’une inscription à un registre professionnel sous réserve d’un seuil de rémunération.
Il existe trois types de contrat VDI. Quelque soit le type de contrat conclu, les règles de protection sociale et de déclaration fiscale sont identiques. De même, le VDI conserve son indépendance et l’autonomie de l’organisation de son travail, que ce soit pour le temps consacré ou pour les méthodes de prospection et la planification de ses réunions.Comme son nom l’indique, le VDI est indépendant, il n’existe donc aucun lien de subordination entre lui et la société de vente directe pour laquelle il exerce son activité.
Le statut VDI minimise les démarches à effectuer lors du démarrage d’une activité. Cependant une déclaration de début d’activité est à effectuer auprès du CFE de l’URSSAF.
CFE URSSAF
Des vendeurs à domicile indépendants
Code de Commerce
Article L135-1
Le vendeur à domicile indépendant est celui qui effectue la vente de produits ou de services dans les conditions prévues par la section 3 du chapitre Ier du titre II du livre Ier du code de la consommation, à l’exclusion du démarchage par téléphone ou par tout moyen technique assimilable, dans le cadre d’une convention écrite de mandataire, de commissionnaire, de revendeur ou de courtier, le liant à l’entreprise qui lui confie la vente de ses produits ou services.
Article L135-2
Le contrat peut prévoir que le vendeur assure des prestations de service visant au développement et à l’animation du réseau de vendeurs à domicile indépendants, si celles-ci sont de nature à favoriser la vente de produits ou de services de l’entreprise, réalisée dans les conditions mentionnées à l’article L. 135-1. Le contrat précise la nature de ces prestations, en définit les conditions d’exercice et les modalités de rémunération.
Pour l’exercice de ces prestations, le vendeur ne peut en aucun cas exercer une activité d’employeur, ni être en relation contractuelle avec les vendeurs à domicile indépendants qu’il anime.
Aucune rémunération, à quelque titre que ce soit, ne peut être versée par un vendeur à domicile indépendant à un autre vendeur à domicile indépendant, et aucun achat ne peut être effectué par un vendeur à domicile indépendant auprès d’un autre vendeur à domicile indépendant.
Article L135-3
Les vendeurs à domicile indépendants dont les revenus d’activité ont atteint un montant fixé par arrêté au cours d’une période définie par le même arrêté sont tenus de s’inscrire au registre du commerce et des sociétés ou au registre spécial des agents commerciaux à compter du 1er janvier qui suit cette période.
L’assiette forfaitaire est optionnelle. Mais si la rémunération brute trimestrielle avant abattement de 10% pour frais professionnels dépasse le seuil de 27 fois le plafond journalier de Sécurité Sociale (soit 4 914€ en 2018), l’employeur ne peut pas appliquer l’assiette forfaitaire. Les cotisations sont alors calculées sur l’assiette réelle, selon les taux de droit commun.
Activité réglementée, le démarchage à domicile appelé “porte à porte”, ou la vente en réunion consistent à proposer au consommateur de souscrire un contrat de vente, de location ou de prestation de services. Le démarchage est soumis à un réglementation protectrice portant sur le contenu du contrat et les délais de rétractation.
En cas de rémunération brute trimestrielle, avant l’abattement de 10% pour frais professionnels, inférieure à 3 fois le plafond journalier de la Sécurité Sociale (soit 546€ en 2018), la rémunération perçue par le vendeur à domicile est exonérée du paiement des cotisations et contributions de Sécurité Sociale.
Art. L. 135-2.
Aucune rémunération, à quelque titre que ce soit, ne peut être versée par un vendeur à domicile indépendant à un autre vendeur à domicile indépendant, et aucun achat ne peut être effectué par un vendeur à domicile indépendant auprès d’un autre vendeur à domicile indépendant.
L’inscription au RCS/RSAC est obligatoire pour les vendeurs à domicile qui ont exercé pendant 3 années civiles consécutives, même par intermittence, et qui ont tiré pour chacune de ces années une rémunération brute annuelle supérieure à 50 % du plafond annuel de Sécurité sociale (soit 19 866 en 2018).
Cette inscription doit intervenir à partir du 1er janvier qui suit ces 3 années civiles.
Les relations entre le VDI et l’entreprise de vente directe sont définis par la circulaire ministérielle du 22/06/2011 comme suit:
Le Vendeur à Domicile Indépendant (VDI) gère librement l’organisation de son travail et détermine seul son niveau d’activité et ses objectifs financiers sans que l’entreprise puisse lui donner de directives. Sous cette réserve, l’entreprise peut offrir néanmoins une assistance qui n’est pas caractéristique d’un lien de subordination et qui ne peut remettre en cause le statut de vendeur à domicile indépendant si elle répond aux conditions suivantes :
L’assistance au démarrage de l’activité et en cours d’activité, telle que proposée aux réseaux de concessions ou de franchise, n’est pas caractéristique d’un service organisé et peut comporter les services suivants :
une information sur la gestion des stocks de produits et sur les conditions d’achat et de reprise par l’entreprise.
la mise à disposition de formation spécifique aux législations particulières intéressant la vente à domicile (lois protectrices du consommateur et relatives au démarchage à domicile, à la vente à crédit, …) et à la déontologie professionnelle (code de la vente directe).
des informations périodiques techniques ou commerciales telles que : brochures ou guides qui donnent au VDI des conseils sur son activité, communication au VDI d’un plan d’assortiment type, documents nécessaires à son activité (bons de commande destinés aux consommateurs, fiches techniques relatives aux produits vendus…), invitations à des réunions, séminaires ou autres manifestations, actions promotionnelles et publicitaires sous forme d’échantillons, de catalogues, de cadeaux destinés aux clients du VDI remis selon les normes de l’entreprise.
Le VDI et l’entreprise échangent réciproquement des informations relatives à l’état du marché, les besoins de la clientèle, la situation concurrentielle, les résultats chiffrés du réseau et d’une manière générale toutes informations utiles à l’exercice de la profession. A cette fin, des réunions peuvent être organisées.
En matière d’assistance commerciale, l’entreprise peut communiquer un tarif public conseillé voire un prix maximum au-delà duquel le produit ne peut parvenir à l’utilisateur, dans l’intérêt du consommateur et afin de préserver l’image de marque du produit ou du service à l’égard de la clientèle.
Enfin, une assistance en matière de gestion et d’administration peut-être apportée au vendeur à domicile par l’entreprise dans les domaines suivants :
La fourniture de modèles comptables permettant au VDI de réaliser l’enregistrement comptable de ses opérations ;
la mise à disposition d’un système de gestion, notamment du stock des produits.
la communication du montant des commissions acquises par le vendeur à domicile au titre de son activité.
l’établissement d’un bulletin de précompte qui peut remplacer, s’il y lieu, la facturation des commissions. Le bulletin de précompte est également établi sur communication de la marge bénéficiaire par le VDI à l’entreprise, lorsqu’il procède par achat et revente. Ce bulletin peut faire office de pièce comptable lorsqu`il comporte le gain réel du VDI.
Sous réserve que l’entreprise mette à la disposition du VDI les éléments de vérification nécessaires, cette assistance ne constitue pas une immixtion dans la gestion.
En contrepartie, le Vendeur à domicile doit respecter les engagements suivants:
Respect des normes commerciales de l’entreprise.
Le VDI prospecte, expose, démontre et vend les produits et services de l’entreprise exclusivement aux particuliers dans les conditions prévues à l’article L. 121-21 du code de la consommation.
L’agrément du VDI peut être limité à l’un ou plusieurs des lieux visés par l’article L.121-21 sans qu’il puisse bénéficier de l’exclusivité d’un secteur géographique.
La présentation, la description ou la démonstration des produits ou services commercialisés est conforme aux fiches ou guides techniques et descriptifs, mais le VDI établit son propre argumentaire commercial.
Il peut exercer toute autre activité mais ne peut accepter sans autorisation préalable la conclusion d’un autre contrat de VDI avec une entreprise concurrente diffusant une même gamme de produits.
Ces règles s’imposent également lors de la constitution par un VDI de son propre réseau.
Respect de la législation et des règles professionnelles.
Le VDI doit respecter les règles professionnelles ainsi que les articles L.121-21 et suivants du code de la consommation et en particulier, l’usage d’un bon de commande conforme à ces dispositions.
Marque et images du réseau.
Le VDI utilise le nom, le logo ou la marque commerciale de l’entreprise aux fins de la distribution de produits ou de services ou de recherche de candidats VDI en respectant les normes et l’image et l’entreprise et après l’accord préalable de celle-ci.
La protection sociale du Vendeur à Domicile Indépendant
Le statut VDI octroie le bénéfice du régime de protection sociale du salarié.
En effet le VDI est assimilé-salarié au regard de la sécurité sociale (il n’est donc pas affilié au RSI) et indépendant au regard de l’administration fiscale. L’absence de lien de subordination implique qu’il soit considéré comme non salarié par rapport au droit du travail. Il n’y a pas de cotisations versées au titre de l’assurance chômage, le VDI ne pourra donc pas prétendre à une indemnisation par le Pôle emploi.
La société de vente directe et le VDI ont la possibilité d’opter pour l’application d’assiettes et de cotisations forfaitaires en dessous d’un seuil de rémunération.
C’est l’entreprise qui se charge des déclarations et du règlement des cotisations.
Les droits aux prestations en nature de la Sécurité sociale
Les prestations en nature sont destinées au remboursement total ou partiel des dépenses médicales, paramédicales et des frais d’hospitalisation. Les bénéficiaires de ces prestations sont l’assuré et ses ayants droit.
Pour en bénéficier vous devez remplir l’une des conditions suivantes:
avoir cotisé sur une base de 400 fois le smic horaire dans l’année civile (3844€ en 2015)
avoir cotisé sur une base de 120 fois le smic horaire pour 3 mois (1153.20€ en 2015)
avoir cotisé sur une base de 60 fois le smic horaire pour 1 mois ou 30 jours (576.60€ en 2015)
À partir du 1er janvier 2016, avec la protection universelle maladie, toute personne qui travaille ou réside en France de manière stable et régulière a droit à la prise en charge de ses frais de santé :
De ce fait, les conditions d’ouverture de droits sont simplifiées. Les salariés n’ont plus à justifier d’une activité minimale, seul l’exercice d’une activité professionnelle est pris en compte.
Quant aux personnes sans activité professionnelle, elles bénéficient de la prise en charge de leurs frais de santé au seul titre de leur résidence stable et régulière en France.
Si vous ne cotisez pas déjà à l’assurance maladie au titre d’une activité professionnelle (et si vous n’êtes pas en situation de retraite ou de chômage), vous pouvez être redevable d’une cotisation si vos revenus du capital sont supérieurs à 9 611 € (valeur 2016).
Les droits aux prestations en espèces de la Sécurité Sociale
Elles correspondent aux indemnités journalières, dans le cas de la maladie, de la maternité et des accidents du travail ou maladies professionnelles entraînant un arrêt de travail.
Les conditions d’ouverture des droits:
1 – arrêt de travail pour maladie < 6 mois
En cas d’arrêt de travail pour cause de maladie de moins de six mois, vous devez:
avoir travaillé au moins 150 heures au cours des 3 mois civils ou des 90 jours précédant l’arrêt.
ou avoir cotisé sur une rémunération salaire, au cours des six mois précédant l’interruption de travail, au moins égal à 1 015 fois le SMIC horaire (9754.15€ pour 2015)
2 – arrêt de travail pour maladie 6 mois
Pour un arrêt de plus de six mois vous devez:
justifier de 12 mois d’immatriculation en tant qu’assuré social auprès de l’Assurance maladie,
et avoir travaillé au moins 600 heures au cours des 12 mois civils ou des 365 jours précédant l’arrêt,
ou avoir perçu un salaire au moins égal à 2 030 fois le montant du Smic horaire (19508.30€ en 2015) pendant les 12 mois civils ou les 365 jours précédant l’arrêt.
3 – arrêt de travail lié à une maternité
En cas d’arrêt de travail lié à une maternité vous devez:
justifier de 10 mois d’immatriculation (possession d’un numéro d’assuré social) à la date présumée d’accouchement,
cesser votre activité professionnelle pendant au moins 8 semaines,
soit avoir travaillé au moins 150 heures au cours des 3 mois précédant la date de début de grossesse ou de début du repos prénatal, soit avoir cotisé sur un salaire au moins équivalent à 1 015 fois le Smic horaire (9754.15€ pour 2015) au cours des 6 derniers mois précédant le début du congé.
La validation des trimestres pour les droits à la retraite
Le VDI acquiert des droits à la retraite (en fonction des rémunérations). A partir de 2014, le seuil pour valider un trimestre de retraite est passé de 200 fois le smic horaire à 150 fois. Il vous faudra donc cotiser sur une base de 1441.50€/trimestre pour pouvoir valider celui-ci (5766€ pour l’année pour 4 trimestres validés).
Le régime fiscal du Vendeur à Domicile Indépendant
Le VDI est un travailleur indépendant au regard de l’administration fiscale, il est donc imposé sur le revenu soit:
dans la catégorie BNC (Bénéfices Non Commerciaux) s’il est mandataire. Dès lors que montant brut des commissions n’excède pas 70 000€, le régime fiscal est celui du micro-BNC. Un abattement forfaitaire de 34% est alors appliqué. Le bénéfice après abattement est soumis à l’impôt sur le revenu des personnes physiques. L’abattement minimum est de 305€.
dans la catégorie BIC (Bénéfices Industriels et Commerciaux) s’il est Acheteur/Revendeur ou Courtier. Le micro-BIC s’applique si le chiffre d’affaire annuel ne dépasse pas 170 000€ et si la part afférente aux commissions n’excède pas 70 000€. Un abattement de 71% est pratiqué sur le chiffre d’affaire achat/revente, l’abattement est de 50% pour la partie commissions. Le bénéfice après abattement est soumis à l’impôt sur le revenu des personnes physiques. L’abattement minimum est de 305€.
Il peut être cumulé avec d’autres prestations ou avec un statut salarié.
Quelque soit le type contrat (Mandataire, Acheteur/Revendeur, Courtier), l’entreprise établit trimestriellement un bulletin de précompte, qui mentionne la rémunération versée sous forme de commissions ou de marges ainsi que le montant des charges sociales.
Le statut de Vendeur à domicile Indépendant et la TVA
La franchise de TVA s’applique dès lors que les seuils du mirco-BNC ou du micro-BIC ne sont pas dépassés.
En conséquence la TVA payée ne peut pas non plus être récupérée.
Les bons de commande devront porter la mention « TVA non applicable, article 293 B du code général des impôts ».
Le Vendeur à Domicile Indépendant et la CET
Le VDI est soumis à la CET (Contribution Economique Territoriale). Cette taxe qui a remplacé la Taxe professionnelle est composé de deux taxes : La contribution Foncière des Entreprises (CFE) et la Cotisation sur la Valeur ajoutée des Entreprises (CVAE).
Dans les faits le VDI n’est pas concerné par la Cotisation sur la Valeur Ajoutée, car celle-ci ne s’applique qu’au delà de 152 500€ de chiffre d’affaire.
Le VDI est assujetti à la Contribution Foncière des Entreprises si le chiffre d’affaire dépasse 16.5 fois le plafond annuel de la Sécurité sociale.
Le VDI ne peut pas opter, au titre de son activité de vente à domicile, pour le régime social et fiscal de l’auto-entrepreneur prévu par la loi LME du 4 août 2008. En effet, n’étant pas rattaché au régime social des indépendants (au regard des prélèvements fiscaux et sociaux libératoires), il n’aura pas accès au statut d’auto-entrepreneur.
Comparatif du Régime de l’Auto Entrepreneur et du Statut VDI.
En résumé
Le statut VDI permet de démarrer une activité de Vendeur à Domicile Indépendant sans lourdeurs administratives avec les avantages sociaux du statut salarié (hors allocations chômage).
Le statut VDI ouvre des droits aux prestations maladie, indemnités journalières et retraite.
Parfait pour une activité complémentaire, il peut évoluer vers un statut d’Agent Commercial ou de Commerçant selon la nature du contrat conclu avec la société de vente directe (mandataire ou acheteur/revendeur)
Le statut VDI est le statut le plus utilisé dans le monde de la vente directe.