Peu de personne se pause la question du fonctionnement de l’Europe, de ses orientations et de sa composent politique, pourtant cette superstructure, prend aujourd’hui des décision qui impacte directement les peuples de nombreux pays.
Un des structures de l’union et le conseil de l’Europe, composé des chefs d’état et de gouvernement. Sont rôle et celui d’orienté et de priorisé les politique de l’UE, donc quand les gouvernements font des discoures sur nous sommes dans l’obligation de suivre les directive de l’union européen, c’est un mensonge, ils ont eu même crée la situation et une autre tromperie, dans ses condition les élections dans les pays respective ne reste pas a des enjeux national, comme se complaise a affirmé la presse au mains des chapiteaux et des états.
La deuxième structure décisionnel est la commission, l'une des principale institution de UE, avec le parlement et le conseil, Instituée par le traité de Rome de 1957 (articles 155 à 163), elle est composée d'un commissaire par État membre, soit 28 . Ceux-ci sont proposés par le Conseil européen et approuvés par le Parlement européen. La fonction principale de la Commission européenne est de proposer et de mettre en œuvre les politiques communautaires.
La troisième structure le parlement européen, qui est la structure la plus démocratique puisque issu d’élection a un pouvoir législatif, sur orientation du conseil européen.
Voilà pour le pouvoir politique de UE, il y bien sur comme autre institution la banque central européenne (BCE), le comité européen des régions, la cour des comptes et la cour de justice.
Tout ceci sur font de lobbyistes en tout genre, voir le livre de François Ruffin sur la question (1).
Les orientations de l’Europe politique est aujourd’hui libérale, dans sont fonctionnement ordo-libéral, c’est a dire qu’elle sort de l’idée, première de cette opinion politique qui est le moins d’état, pour un structure législatif qui impose par les état et donc l’union européen des fonctionnement économique et législatifs restrictifs introduisent l’obligation de cette orientation néolibérale, pour plus de dévlopement sur cette question voir le livre savoir/agir n 23 (2).
Cette façon de faire de la politique, se retrouve dans les obligations de règle, imposé au états par l’UE, voir la règle des 3% et autre (3)
Dans cette Europe des nations, un pays a pris en exemple ses dernière année l’Allemagne, bien sur d’autre pays ont été a un moment ou un autre montré en exemple, Espagne, Grèce, Portugal et autre, car ils avaient suivie les directive la pensé libéral, ses pays s’étant systématiquement trouvé en difficulté, l’Allemagne reste a se jours le dernier pays qui est présenté comme bon élever, bien que la réalité n’est peux être et surement pas la réalité vécue par les allemands et les allemandes.
Ce pays qui a bien des égards est la bouée de secoure idéologique des partisans de l’austérité a tout crient de la population et certainement le pays ou les inégalité salarial sont les plus grande a en jugé l’étude d’Eurostat, avec 22,5% de bas salaire l’Allemagne est tout juste a déçu de la Pologne 23,6% , la Roumanie 24,4 %, pour ceux qui aurait aimée savoir par apport a la Grèce il ni a pas de chiffre.
Mais une information par contre contredit l’Allemagne comme pays ou il fait bon vivre en comparaison des inégalité d’autre pays in ci les pays scandinave sont les pays les plus égalitaire la proposions de bas salaire en suède est de 2,6%, en Finlande de 5,3% , de 8,6% au Danemark.
En comparaison l’Allemagne : un salarié sur quatre a un bas salaire, contre un sur dix en France.
Le taux de pauvreté en Allemagne est considéré de 17% , on est loin de m’image idyllique que l’on nous vend a longueurs de temps les biens pensant de l’idolâtrie européens.
La politique impulsé par l’union européen sur la privatisation des eaux (4), a montrée toute sa perversité et son iniquité. Les privatisations duraille, qui on détruits des pans entiers du patrimoine industriel des pays européens ne changent en rien la l’obstination des politiques européens.
Et le prochain enjeu de l’union sera de faire croire que la Grèce est sortie d’affaire, comme il n’existe aucun chiffre cohérent on aura soit beau jeu d’imposer des calculs ne permettant pas d’avoir une juste vision de la situation du pays, soit les discours débilitant des politiques nous décrirons une situation en trompe l’oeil.
Pourtant il n'y a pas qu'en Grèce ou les directives de l’UE on fait des ravages, ainsi dans son livre que l’on peut aujourd’hui considérer comme visionnaire, Jorge Valadas avait vu venir les grands incendies qui se sont produit et le manque de moyens qu’allait avoir le Portugal a y répondre ayant suivi la politique dicté par l’UE(5) .
La politique ordo-libérale n’a pourtant que peu de soutien dans la population européenne, la question a se poser est peut être: doit-on rester dans l’EU, ou en sortir, la réponse se trouve certainement dans "si nous sortions de l’union européen, les politiques de nos pays changeraient-elle d’orientation? Revenons au fonctionnement qui compose le conseil européen, les chefs d’Etat ou les ministres d’Etat, c’est à dire ceux qui donnent son orientation à l’Europe (6).
Donc la question est bien sortir de l'EU comme option, mais aussi de la composante politique de l’union, car quoi qu’il arrive les pays qui composent le champs géographique ne disparaitrons pas dans l’immédiat en tout logique, donc le combat est bien de la conquête du pouvoir en Europe par les forces progressiste et contre réactionnaire de l’Europe et pour cela un des moyens est le vote pour des partis qui n’entendent pas continuer dans les politiques ordo-libérales.
Bien sur si l'on considère les affirmations de journalistes aux ordres et certains politiques comme juste, quand ils affirment que les lois européennes ne peuvent pas être changées, il est vain peut être de se battre, mais le ridicule des affirmations ne résiste pas à la réalité historique, les lois de la Grèce antique ont toujours cours aujourd’hui, il faut le croire, mais soyons dans la réalité la politique néo-liberale de l’Europe peut être changé.
Les élections qui vont venir autant européennes qu’a l’échelle des pays sont primordiales, si nos candidats progressistes ne sont pas en capacité de mettre en liens les perspectives nationales et européennes dans leur campagne, la prise de conscience de la population des enjeux et perspectives politiques en lien avec l’Europe ne se fera pas, la mobilisation électorale restera faible et les perspectives d’avenir resterons tragiquement bouchées.
Il y a pourtant des besoins qui peuvent servir de levier à une campagne pour une autre Europe, la population européenne est pour. Sans grand parti attaché au progrès social qui on permis une vie meilleurs, une possibilité que se soit dans la maladie et l’accident et une protection contre l’arbitraire patronal. C’est des discours catastrophiques sur la question du soit disant coût des droits sociaux et une dette auprès d’instituts privés, par les traités européens par eux même crée, puisque les banques centrales ne peuvent plus prêter directement aux Etats.
Les perspectives d’une autre Europe sont des enjeux primordiaux et l’échec patent des politiques de la droite conservatrice et la droite sociales démocrate à atteindre ses objectif doivent être mis en perspective, montée de la pauvreté, fascisme, la perspective d’une guerre ou de plusieurs conflits armés sont le résultat de l’échec des politiques menées et aujourd’hui les tenants de l’Europe ordo-libéralisme ont un passif important qui doit être expliqué et mis en perspective d’une autre politique .
Aujourd’hui l’Europe ne fait pas rêver, elle fait peur, sa capacité à imposer des politiques que la population ne veut pas, son manque de perspective économique radieuse favorise , le replis sur soit , les mouvement fascisants et porte une perspective de guerre.
Mais l’Europe peut être autre chose, économiquement et politiquement, reste à voir les partis politiques qui seront capable de porter une autre vision de l’Europe et de se faire élire sur un autre programme que l’austérité et la décadence.
Il n'y a de fatalité que dans les discours qui font croire que rien n’est possible pour des personnes qui vivent de la défense des intérêts particuliers, qui font la politique de l’EU.
Mais les perspectives d’une autre politique sont infinies, industriellement, socialement et culturellement.
Il reste juste un mouvement global et structuré qui construise à une autre politique.
- -1.faut-il faire sauter Bruxelles : Fakir édition
- -2.europe/ la dictature de l’austérité : édition du croquant
- -3. On a marché sur la dette : édition la Martinière
- Arté reportage
- -5. La mémoire et le feu( Portugal : l’envers du décor de l’euroland édition l’insomiaque.
- -6. Source :( /european-union/index-FR)