Quand on s’exprime lors d’un discours, nos pensées transparaissent.
Ainsi cet objet communicationnel n’est pas neutre, ce que j’affirme quand je dis par exemple : « le monde est en changement et se modifie », je défini une pensée d’un ensemble structuré, je suis dans une pensée évolutionniste, si non je dirais l’environnement est un lac silencieux.
Si le postulat de départ est bon, une personne qui parlerai de : « premier de cordée » et (…)« de gens qui ne sont rien »(…), est un individu qui a une vision fasciste du monde, se qui caractérise un des aspects de cette doctrine est qu’elle rejette la notion d’égalité au nom d'un ordre hiérarchique naturel.
Le langage est de la communication maitrisé et non maitrisé, mais il donne toujours une indication sur sa pensée, sur son être, et sur sa façon de voir le monde.
Donc le président d’un pays qui tient de tel propos, en public parle forcément à une partie de la population qui partage ses opinions et laisse entrevoir sa vision du monde.
Le reste n’est que gribouillage.
Cordeil Olivier