Les facteurs structurels :
De nombreux changements qui ont fait en sorte que la gauche dite traditionnelle a perdue du terrain. Une des causes pour extrême gauche est la chute de l’Union soviétique et la fin de la guerre froide, qui a mis fin à un autre modèle possible du capitaliste. En France, on peut voir cette chute avant avec le livre Archipel du Goulag, qui va créer une méfiance contre le modèle alternatif communiste. Le néolibéralisme, idéologie dominante, a perdu son principal opposant.
Le néolibéralisme a aussi plus moins vaincu l’État-providence et l’a remis en question. La raison est du qu’après la Deuxième guerre mondiale, Europe entre dans les trente années glorieuses, il fallait reconstruire l’Europe. Cette période prendra fin dans les années 80 avec arrivée des Partis conservateurs pros marchés comme en Angleterre et aux États-unis avec deux chocs pétroliers qui a mis à mal économie mondiale. Dans le texte d'Alain Bergounioux, 2010, l’ouverture économie dans la mondialisation a fait en sorte que les États ont moins de recettes fiscales, les états ne peuvent plus investir dans les services publics. Les partis de gauche, quand ils sont arrivés au pouvoir, ne pouvaient plus assurer leur promesse assurer l’état-providence. Dans le texte de Pierre de Senarclens, 2003, les guerres menées partout dans le monde par les États-Unis donc la guerre du Viet Nam a fait fondre les revenues de l’État. Quand le parti conservateur est arrivé au pouvoir, le néolibéralisme c’est imposer et vu que les USA sont puissants économiquement et politiquement, ils ont imposé leur modèle a travers le monde.
On a aussi un changement dans l’économie, on est parti une économie primaire et secondaire à une économie tertiaire. Les ouvriers, qui était l’électorat de la gauche, étaient nombreux au début du 20 siècles, la délocalisation des industries vers les pays du tiers monde et la montée de l’économie tertiaire a fait en sorte que le mouvement ouvrier a chuté et à donner place à une classe moyenne qui est de plus en plus nombreuse. Dans le texte de Paul Alliès , 2007, le capital n’est plus industriel mais technologique, il est basé sur l'intelligence et il est plus difficile à taxer ( entreprise) que les industries puisque les chaines sont partout dans le monde. Dans le texte d'Alain Bergounioux, 2010, l’électorat à changer, si avant le clivage était entre ouvrier et patron, avec la mondialisation, un nouveau clivage est arrivé, entre les gagnants et les perdants de la mondialisation. La montée de la classe moyenne, plus éduquer et plus lier à un travail de bureau a créé des nouveaux besoins et nouvelle revendication, cette classe est plus hétérogène que la classe ouvrière. Elle est plus nombreuse, plus individualiste et plus changeante dans les revendications politiques. La mondialisation aide un parti de cette classe moyenne. En France, les personnes en métropole Française (dépends des quartiers) sont plus avantagées que les personnes dans les campagnes. On peut considérer que les perdants de la mondialisation sont les nouveaux prolos. Le clivage est maintenant être pro mondialisation bourgeoise et antimondialisation et ouvrier.
Finalement, des nouveaux enjeux sont arrivé. L’environnement et les luttes pour les femmes et les minorités sont devenue des sujets importants. Ce changement sera plus détaillé dans les facteurs des acteurs.
Le rôle des acteurs :
Premièrement, arrivée de nouveaux enjeux a fait en sorte de diviser les votes de la gauche et créent un nouveau clivage entre pros environnement et pro économie. Le Parti vert ( en France c’est l'Eelv) par son approche de la question environnement plus prononcer que les autres partis de gauche a fait en sorte que prendre une partie de l’électorat de la gauche.
Le parti socialiste en France a chuté à partir à cause de François hollande et Manuel Valls, qui par leurs incompétences, a durablement fait chute le parti socialiste. Un échec de la renégociation avec UE sur le budget, la réforme de la loi travaille qui a créé un mouvement social important, contre nationalisation certaine entreprise et etc. Il a été incapable de gérer la crise économique en France et il utilisa souvent la loi 49-3 pour forcer adoption de ses mesures. Ses actions qui ont entrepris son contraire aux valeurs de la gauche socialiste.
Le parti de Mélenchon a semblé aux dernières élections contre Macron être le nouveau mouvement de gauche. À la fin des élections, son parti politique, la France insoumise était très populaire. Mais autoritarisme de Mélenchon dans son parti et ses scandales a coup, je suis la république, a fait perdre la confiance auprès de l’électorat.
Conclusion et prochaine question à répondre :
La montée du néolibéralisme, la chute du communiste avec le changement économique et le mauvais jeu des acteurs politique a fait en sorte que la gauche a plus moins disparu. La gauche a capitulé face au néolibéralisme et n’a pas été capable de trouver un nouveau projet face au nouveau monde actuel. Ils n’ont pas été capables adapté au changement et elle est devenue vide. Les partis politiques de gauche ne remettre plus en question la mondialisation et le néolibéralisme en profondeur. Les partis de gauche qui critiquent le néolibéralisme en profondeur sont trop petit et se divisent en plein de petit parti. Ils manquent à la gauche un mouvement de masse.
Un autre critique revient pour la chute de la gauche, c’est qu’elle a capitulé face au néolibéralisme et décider d'uniquement occuper des minorités. Dans une classe moyenne plus éduquer, chacun veut qu'on règle leur propre problème personnel et ne pense plus au bien collectif. Elle aura abandonné la laïcité face à l’islamiste. Cette critique sera traitée au prochain texte.
Biographie :
Alliès Paul, « La crise de la social-démocratie européenne et ses paradoxes sudistes », Pôle Sud, 2007/2 (n° 27), p. 9-19. DOI : 10.3917/psud.027.0009. URL : https://www.cairn.info/revue-pole-sud-2007-2-page-9.htm
Bergounioux Alain, « Demain la social-démocratie ? », Le Débat, 2010/4 (n° 161), p. 20-28. DOI : 10.3917/deba.161.0020. URL : https://www.cairn.info/revue-le-debat-2010-4-page-20.htm
de Senarclens Pierre, « Chapitre 2. L'essor du néolibéralisme », dans : , Critique de la mondialisation. sous la direction de de Senarclens Pierre. Paris, Presses de Sciences Po, « La Bibliothèque du citoyen », 2003, p. 29-51. URL : https://www.cairn.info/critique-de-la-mondialisation--9782724609011-page-29.htm