LUCIEN JEWCZUK DIT SCHIZO GUÉRI : RÉSUMÉ DE MES PLAINTES POUR ILLÉGALITÉS, ERREURS, FAUTES, ABUS, DÉLITS, CRIMES, ETC. À MON ENCONTRE DU CENTRE HOSPITALIER LA PALMOSA DE MENTON, DU CENTRE HOSPITALIER PASTEUR 2 ET DU CENTRE HOSPITALIER SAINTE-MARIE DE NICE DU 01/12/2023 AU 11/01/2024 NON ENREGISTRÉES PAR LE PROCUREUR DE LA RÉPUBLIQUE DEPUIS DEUX ANS À CE JOUR PEUT-ÊTRE POUR CACHER LES FAITS ET LA VÉRITÉ AUX MÉDIAS ET C’EST POURQUOI J’Y AI RENONCÉ ET PRÉFÈRE DÉSORMAIS LE TRIBUNAL MÉDIATIQUE POPULAIRE.
Le 01/12/2023 je me suis présenté au commissariat de police de Menton avec l’idée de demander une expertise psychiatrique pour aider ma femme mais l’officier de police ne m’a écouté que deux minutes (je suis peut-être fiché comme schizophrène) et c’est pour moi qu’il a alors demandé un examen médical au Centre hospitalier la Palmosa à Menton pour “propos incohérents et délire de persécution” ce qui était faux car je n’ai dit à celui-ci que des faits réels. À la Palmosa à Menton je n’ai vu alors que seulement deux fois le médecin des urgences pour en tout même pas alors seulement vingt secondes. J’ai compris que j’allais être hospitalisé à tort en psychiatrie et ai porté plainte contre celui-ci plusieurs fois grâce à mon portable auprès de l’accueil du tribunal judiciaire de Nice. J’ai eu l’occasion de voir mon certificat d’hospitalisation pour l’hôpital Pasteur 2. Le motif de celle-ci y était faux aussi bien du point de vue médical (je n’ai jamais été agité) que du point de vue juridique (un seul mot : AGITATION). J’ai passé une nuit à Pasteur 2 puis le lendemain ai été amené à Sainte-Marie à Nice. J’ai demandé plusieurs fois : “Est-ce que je peux ne pas prendre les médicaments en attendant de voir l’expert à ce sujet ?” ce qui m’ a été à chaque fois alors refusé et plusieurs fois j’ai demandé aussi : “Je veux voir l’expert pour lui apprendre la psychiatrie !” Je ne savais pas qu’étant en service dit libre la loi n’avait rien prévu en réalité en matière justement aussi bien de rétention de liberté que d’expertise. Pendant mon hospitalisation du 02/12/2023 au 11/01/2024 jamais je n’ai eu l’occasion de savoir ni en conséquence de discuter du contenu de ma déposition de deux minutes au commissariat. Les psys n’ont fait que fouiller dans mon passé et j’ai alors dit à l’un d’entre eux (un homme) ceci : “À l’âge de 40 ans j’ai revu à ma demande à Sainte-Anne à Paris le psychiatre qui m’avait expertisé au Centre d’orientation éducative de Versailles à l’âge de 17 ans. Il m’a dit : vous êtes à l’âge où vous devez envisager d’arrêter vos médicaments sauf si vous voyez des couteaux…” J’ai commencé à me sevrer en 2004 puis davantage en 2008 jusqu’en 2019 : pendant cette période je n’ai pris seulement qu’un comprimé par jour d’aripiprazole 5 mg ou seulement que sa moitié : 2,5 mg. De 2020 à 2023 je n’ai jamais pris le moindre médicament psychotrope. Une des psys au cours de mon hospitalisation à Sainte-Marie m’a dit un jour : “Quand vous êtes arrivé vous étiez psychotique !” Je lui ai répondu aussitôt : “C’est un mensonge !” et ensuite je n’ai jamais revu celle-ci car sans doute avait-elle bien compris la vérité sur mon hospitalisation. Au cours de celle-ci deux crimes ont été commis sur ma personne à mon avis au regard de la loi. Me faire prendre des médicaments sans ne me dire jamais auparavant le but de leur prescription et faire des expériences sur moi-même aussi sans ne me dire jamais auparavant la vérité à leur sujet : un jour l’appareil à mesurer la glycémie à indiquer 2,2 g et un autre jour lorsque j’ai demandé à l’infirmière : “C’est quoi cette gélule ou c’est quoi ce comprimé ?” celle-ci a alors fait un acte manqué et m’a répondu alors sans réfléchir : “C’est de la metformine !” En 2019 j’avais arrêté l’aripiprazole 5 mg car depuis environ deux ans j’étais soigné pour un diabète de type 2 dont c’est moi qui ai découvert sa cause : l’aripiprazole comme indiqué sur sa notice. Je n’avais pas manqué alors de déclarer cela à mes deux dames psy de Sainte-Marie. Mais avant ma sortie pour mon avenir l’une d’elles m’a fait une ordonnance de deux comprimés d’aripiprazole 10 pour laquelle je lui ai demandé : “Pourquoi me prescrivez-vous une dose aussi forte … ?” Elle me répond : “La schizophrénie est une maladie chronique !” et quelques jours plus tard après ma sortie en mesurant moi-même ma glycémie j’ai découvert une récidive alors justement de mon diabète. Mais où cette dame psy a-t-elle appris la psychiatrie ? Avant j’avais pourtant fait remarquer à un psy ou à une psy de Sainte-Marie : “Pour le Pr Edouard Zarifian si après trois ans de traitement il n’y a pas eu de rechute il faut arrêter les médicaments !” et “Pour la Haute Autorité de Santé prescrire un antipsychotique diminue l’espérance de vie de 15 à 24 an !“ Au cours de cette hospitalisation quatre fois j’ai demandé grâce à mon portable ma sortie contre avis médical à l’accueil du tribunal judiciaire de Nice et toujours les psys me l’ont alors refusée. Un jour avant ma sortie en remplissant mon questionnaire de satisfaction pour Sainte-Marie je n’ai pas manqué de faire remarquer ceci : “L’hôpital Sainte-Marie ne pouvait pas concevoir l’erreur et la faute médicales commises auparavant à l’hôpital de la Palmosa !” Peu après j’ai reçu le bulletin de liaison de Sainte-Marie pour moi. J’ai découvert dans celui-ci alors le diagnostic de “propos incohérents et délire de persécution” qu’avait fait l’officier de police de Menton pour justifier sa demande d’examen médical pour moi à la Palmosa le 01/12/2023 mais aussi le diagnostic de l’une de mes psys de Sainte-Marie à ma sortie de celui-ci le 11/01/2024 à savoir : “schizophrénie paranoïde enkystée”.
Le 11 novembre 2025,
Lucien JEWCZUK